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Les principales oligarchies du monde, soi-disant dirigées par les Rockefeller et les Rothschild, supposent également que le pouvoir est coordonné chaque année lors des réunions du Bilderberg Club, auxquelles assistent les dirigeants et les propriétaires de banques et de sociétés telles que Goldman Sachs, Barclays, Lazard, JP. Morgan Chase, Rothschild, Hsbc, Google, Shell, Exxon, British Petroleum, Bayer, Nestle, Prisa, Ericsson, Fiat Chrysler, Hewlett Packard, ainsi que des représentants de la haute noblesse européenne, des chefs militaires de l'OTAN et des services de renseignement comme la CIA et le MI6. Ce pouvoir comporte plusieurs éléments clés: les pouvoirs financiers, militaires, scientifiques et techniques, du renseignement et le pouvoir des capitaux issus du trafic de drogue.

L'un des avantages de ce pouvoir est la quantité illimitée de capital, même sous forme d'argent à sa disposition, qui le multiplie chaque jour en émettant plus d'argent, notamment de la Réserve fédérale américaine.

Au milieu de ce panorama, des peuples se déploient, occupant des espaces très différents. La politique révolutionnaire a le devoir d'entreprendre hardiment ces processus sans craindre l'argent inorganique qui alimente l'inflation. Nous avons besoin de plus d’argent, mais pas pour la corruption et le gaspillage. Chaque bolivar doit passer en production. Des centaines de communes attendent un financement pour le transformer en biens et services; il y a des travailleurs courageux qui doivent être sauvés du chômage; une légion de petits et moyens producteurs, tous prêts à produire des matières premières, de la nourriture, des services divers …

La hausse des prix doit être confrontée à une «politique radicale des prix convenus», fondée sur l'organisation de comités ouvriers et villageois, qui seront chargés de négocier avec les hommes d'affaires de leur localité ou usine. Les ministères doivent servir en obéissant.

La politique de crédit doit être orientée vers les communes, les petites et moyennes entreprises, l'éducation, la santé. Les grands monopoles doivent rendre compte des crédits milliardaires qu'ils ont reçus au cours de ces 20 années. Où sont les résultats? Aujourd'hui, ils sont responsables de la spéculation sur les prix. Eh bien, il est temps de rendre des comptes. L'Assemblée nationale constituante doit s'y préparer.