191 ans depuis la mort du Libérateur

Le 17 décembre, 191 ans se sont écoulés depuis la mort du Père Libérateur Simón Bolívar, dont le grand travail d’indépendance prend de plus en plus de dimension chaque jour, mais avec tout ce qui l’a consacré comme celui qui a libéré le continent sud-américain, sa figure était utilisé comme image décorative, surtout ici au Venezuela où il est venu au monde le 24 juillet 1783, alors que le colonialisme espagnol avait 285 ans de domination.

En revenant à nos jours, nous avons que tout ce panorama historique a été arrêté le 2 février 1999 avec l’arrivée du commandant Hugo Rafael Chávez Frías, qui avait remporté les élections présidentielles du 6 décembre 1998. Et nous disons qu’il a arrêté cette politique parce que sauvé la mémoire de Bolívar, créant en même temps le mouvement bolivarien et réussissant ainsi à ce que le peuple vénézuélien se réveille de cette léthargie commencée par José Antonio Páez, l’un des grands héros tombés entre les mains du pouvoir oligarchique, qui commandait au Venezuela à partir de 1830, traversant plusieurs dictatures, parmi lesquelles se distingue celle de Juan Vicente Gómez, qui débute le 19 décembre 1908 et dirige le gouvernement jusqu’à sa mort le 17 décembre 1935, bien que des commentaires circulent encore que la Mort est survenue le 14, mais ses partisans l’ont fait taire pendant trois jours pour coïncider avec celui du Père Libérateur.

On sait déjà que le 18 octobre 1945, Rómulo Betancourt, fondateur d’AD, s’allie avec le major de l’époque Marcos Pérez Jiménez et renverse le général Isaías Medina Angarita qui, en mars 1943, avait augmenté les prix du pétrole, en plus de fixer un délai de 40 ans l’expiration des concessions aux compagnies pétrolières. Pérez Jiménez a pris le commandement dictatorial le 2 décembre 1952 et a été renversé par l’action populaire et les secteurs militaires avancés. Le puntofijismo a émergé qui a dirigé le pays jusqu’en 1999, date à laquelle Chávez a pris ses fonctions.

Nous terminerons par quelques pensées du Libérateur Simón Bolívar, émises dans les derniers mois de sa vie.

Voyons voir:

« … Je vous demande, je vous supplie de rester unis, afin que vous ne soyez pas les meurtriers de la Patrie et vos propres bourreaux… ».

« Écoutez mon plaidoyer : sauvez la République.

« Mes derniers votes sont pour le bonheur de la Patrie. Si ma mort contribue à la cessation des partis et à la consolidation de l’union, je descendrai dans la tombe en paix ».