À Bolívar, les patrons de médias et les partis d’opposition se joignent à la défense d’Essequibo

Des représentants de différents médias radiophoniques ont tenu une réunion avec le gouverneur de l’entité, Ángel Marcano, afin d’établir et de placer les différentes vitrines de communication en soutien à la campagne nationale Venezuela Todo en vue du référendum consultatif du 3 décembre.

Au cours de la réunion, les porte-parole de cette importante union régionale ont pris position sur le contexte actuel que traverse le pays à travers l’acte illicite du gouvernement guyanien de vouloir s’emparer du territoire vénézuélien, pour lequel ils ont assuré que ce fait lie tous les secteurs du pays et son devoir de le défendre.

Honorio Requena, propriétaire d’une marque de radio privée bien connue dans l’entité, a qualifié la réunion de réussie, en signalant que chaque station servira à donner une plus grande diffusion à la question d’Essequibo.

« Ces rencontres doivent être répétées, nous avons pu exprimer une série d’idées qui établiront un plan de communication, dont le seul objectif est de défendre le pays », a déclaré Honorio Requena.

L’opposition défend Essequibo

Le Progressiste Avancé, l’Action Démocratique, le Copei et d’autres partis politiques d’opposition se sont joints à la rencontre avec le président régional et ont exprimé leur désir de converger dans la lutte ferme pour la juste défense d’Essequibo, dont ils ont assuré que la priorité était le Venezuela.

Le gouverneur Ángel Marcano a expliqué que l’article 326 de la Constitution de la République bolivarienne du Venezuela appelle à la défense du pays et que cela implique tous les Vénézuéliens.

Dans ce sens, le chef du commandement régional de campagne Venezuela Todo a souligné que la volonté de tous les secteurs politiques qui s’associent à la participation au référendum consultatif montre que cela est possible.

Différentes forces populaires de l’État se sont jointes à la juste défense d’Essequibo, depuis les mouvements religieux, sportifs et culturels, reflétant un sentiment d’appartenance au territoire et de la plus haute importance pour être l’État frontalier.