Le silence suspect de la part de l’opposition politique radicale « vénézuélienne » est impressionnant, avec lequel ils veulent faire comprendre à l’opinion publique nationale et internationale qu’ils traversent beaucoup de chagrin et de honte face aux commentaires malheureux et embarrassants d’anciens américains. Le président Donald Trump. Seule la plate-forme dite unitaire a déclaré que la question pétrolière ne devait pas être incluse dans la campagne électorale présidentielle américaine.
Cet ancien président anti-vénézuélien égaré, de façon impudique, arrogante et suprémaciste, a rappelé au militantisme républicain d’extrême droite qu’il se sent très fier, à la tête de l’impérialisme pendant quatre ans, d’avoir conduit un pays libre et souverain (le Venezuela) à l’effondrement total, avec sa politique perverse d’application de ses sanctions illégales et de ses blocus criminels, qui lui ont presque permis de s’emparer de la plus grande réserve de pétrole de la planète terre.
Lorsque nous commençons à réfléchir aux déclarations faites par un tyran impérialiste, nous nous retrouvons devant des preuves claires et une confession irréfutable sur les objectifs réels et véritables que l’ancien président Donald Trump aspirait à atteindre, prendre d’assaut le Venezuela et lui enlever tout son pétrole. pour pouvoir ainsi couvrir les frais occasionnés par une intervention militaire et la grande faveur politique de placer au pouvoir l’ex-intérimaire autoproclamé.
Ce qui est loin des soi-disant « excuses formelles » qu’ils ont vendues avec une grande variété de prétendues raisons pour s’en prendre impitoyablement à l’économie nationale, telles que : 1.- pour des raisons humanitaires. 2.- pour sauver la démocratie au Venezuela. 3.- isoler et obtenir la démission de la dictature chaviste. 4.- pour vaincre idéologiquement la gauche en Amérique du Sud et un moyen de donner un coup de publicité à la fois à la Russie et à la Chine pour dire au monde que l’Amérique appartient aux Américains.
Maintenant, le problème politique est pour la droite vénézuélienne, puisqu’elle a fait de Donald Trump son idole et son exemple à suivre, ils l’ont même appelé le grand protecteur de la démocratie et de la liberté.
Au fait, que va faire l’opposition avec les milliers de chemises à l’effigie de Donald Trump ?
politologue
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