Des baigneurs découvrent un « monstre marin » sans vie sur les rives d’une plage de Californie

« Je n’ai jamais rien vu d’aussi terrifiant de ma vie » dit Jay Bailer, le nageur qui a réussi à trouver un « Monstre des mers ». C’était une sorte de poisson, qui était sans vie, sur les rives d’une plage de San Diego, La découverte est devenue virale sur les réseaux sociaux.

Selon les médias spécialisés, tout a une explication. C’est un poisson qui peut grandir jusqu’à 1 mètre de long et peser jusqu’à 50 kilosmais bien que son apparence semble « sorti d’un film de fiction », C’est l’un des animaux les plus méconnus au monde, car il provient des écosystèmes les plus inhospitaliers de la planète : les fonds marins.

Il avait un corps souple, des dents apparentes, « ailerons effrayants »qui faisaient partie du corps. On présume que les vagues pourraient amener le corps de l’étrange poisson sur les rives de la plage de San Diego, aux États-Unis.

Les scientifiques ont convenu que oui, le soi-disant « Monstre des mers » C’est une espèce qui vit dans l’océan Pacifique à une profondeur de 1 000 mètres et est reconnue comme un poisson ballon du Pacifique, une espèce peu connue selon l’Académie des sciences de Californie, où elle survit dans l’obscurité et avec peu de nourriture. La découverte est l’occasion d’étudier comment ils survivent dans les tranchées marines et de quoi ils se nourrissent.

Les archives scientifiques montrent que il existe un peu plus de 200 espèces de lottes, La plupart d’entre eux vivent dans des conditions extrêmes en Antarctique et dans l’Atlantique, à de grandes profondeurs. Une caractéristique qui a attiré l’attention de ceux qui l’ont trouvé est qu’une colonne vertébrale dépasse au-dessus du « bouche » que seules les femmes possèdent.

Les biologistes étaient « excité » pour la découverte, car il y a très peu d’informations sur la génétique de cette espèce rare de poisson. Ben Frable, responsable des collections à la Scripps Institution of Oceanography, a encouragé les gens à signaler leurs découvertes chaque fois qu’ils trouvent des espèces comme celle-ci, car elles leur permettent d’en savoir plus sur le « mystères » de l’océan.