Désespoir politique

À l’approche du 10 janvier, date de l’investiture du président de la République Nicolás Maduro Moros devant l’Assemblée nationale, les messages agressifs et négatifs incitant à la terreur, sur « la fin des temps », continuent de se multiplier à travers ce qu’on appelle sur les réseaux sociaux, par l’extrême droite « nationale » et son extrémisme radical anti-chaviste.

Bien sûr, l’antipatriotisme et le pitiyanquisme vénézuéliens n’agissent pas seuls, car ils sont pleinement soutenus par l’impérialisme américain et l’extrême droite internationale, qui tentent de l’extérieur de les soutenir avec beaucoup d’argent, d’armes et de mercenaires pour créer le chaos dans le pays. pays qui leur permet de déclencher une guerre civile, puis de demander de toute urgence une aide militaire internationale pour mettre fin à la violence.

La situation politique qu’ils ont voulu créer pour le déjà célèbre 10 janvier a un sens guerrier de menace dans la mesure où tout peut arriver dans le pays lors de l’investiture présidentielle, lorsque les organisations policières et militaires, « par hasard » seulement dans le Au mois de décembre, ils ont capturé plus de 100 mercenaires, avec de grandes quantités d’armes, qui, lors des interrogatoires, avouent qu’ils faisaient partie de plans insurrectionnels pour tenter d’installer au pouvoir l’ancien candidat présidentiel, monsieur. Edmundo González.

D’ailleurs, la pression internationale des gouvernements de droite et anti-chavistes s’accompagne d’une guerre psychologique contre le soutien de pays comme l’Espagne, la République Dominicaine, l’Argentine, l’Uruguay et le cas du Paraguay, qui a contraint le Venezuela à rompre ses relations diplomatiques. relations internationales, sans oublier l’ancien gauchiste le plus radical et secrétaire général de l’Organisation des États américains, M. Luis Almagro, qui demande « d’isoler » le Venezuela.

Par désespoir politique et médiatique, l’extrême droite internationale a préparé une tournée internationale pour Edmundo González Urrutia pour démontrer qu’elle a le soutien de l’Argentine, du Panama, de l’Uruguay et des États-Unis, alors qu’ils n’ont pas encore décidé où ils penseront sur la planète Terre. . je jure devant ce parapet politique.
Politologue.