FGR : les accusations concernant l’enquête sur Súmate et le CNP sont fausses

Le procureur général de la République, Tarek Willian Saab, a qualifié de fausses les accusations lancées par l’avocat Perkins Rocha, concernant l’annonce faite par le plus haut représentant du ministère public lors d’une conférence de presse, sur l’ouverture d’une enquête contre le responsable du Événement primaire organisé dimanche dernier.

Saab, dans une vidéo sur son compte sur le réseau social Le nommé Perkins Rocha, pensant qu’il ignorait le droit pénal, a eu l’audace de lancer de fausses accusations sur les enquêtes menées par le ministère public.

Comme on s’en souvient lors d’une conférence de presse, Saab a annoncé que deux procureurs avaient été nommés qui seront chargés d’ouvrir une procédure d’enquête contre le Conseil de la Commission Nationale Primaire et la société Súmate.

La FGR a déclaré, en parlant de l’avocat, que « l’opinion publique nationale se souvient de la façon dont Rocha a été démis du pouvoir judiciaire pour des dossiers de négociation qu’il avait précédemment volés dans les bureaux », et qu’il « portait criminellement dans la valise de son véhicule ».

Aucun crime n’a été préqualifié

Saab a avancé trois arguments rejetant les accusations de l’avocat Perkins Rocha

1) Il dit que : « Le parquet a pré-qualifié les crimes lors de la conférence de presse ».

C’est faux, – a-t-il souligné – le Ministère Public a annoncé l’ouverture d’une enquête pour divers délits qui commencent à faire l’objet d’une enquête, mais qui n’ont pas encore été formellement inculpés.

2) Il a également déclaré que « le Parquet a révélé des éléments de preuve : c’est un mensonge, puisque le ministère public n’a pas révélé d’éléments de preuve, il a seulement été souligné qu’il y avait des plaintes publiques pour des irrégularités qui ont été diffusées sur les réseaux sociaux des graves fraude qu’ils faisaient au peuple vénézuélien, c’est pourquoi il appartenait au parquet d’ouvrir une enquête pour déterminer s’il y avait des éléments pour prouver ces faits », a-t-il déclaré.

3) Il a également déclaré que « les principes de l’enquête sont violés » : C’est faux – a-t-il dit – car « aucun principe n’est violé, puisqu’on a annoncé le début d’une enquête contre une série de personnes qui devront se rendre au Le ministère public devra démontrer qu’il n’est pas impliqué dans des irrégularités et aura la possibilité de fournir des éléments qui lui permettront de développer sa propre défense dans chacune des étapes procédurales correspondantes.

Enfin, le FGR a déclaré que le ministère public, au moment de recevoir une plainte, doit évaluer les circonstances de la manière, de l’heure et du lieu dans lesquels les événements se sont produits pour déterminer quelle ligne d’enquête l’affaire suivra conformément à l’article 285 paragraphe 4 de la Constitution de la République Bolivarienne du Venezuela, et ainsi pouvoir ordonner les procédures pertinentes et nécessaires conformément à l’article 111 ordinal 1 du Code Organique de Procédure Pénale.