Fraudes au Venezuela | Dernières nouvelles

Au Venezuela, il y a des fraudes de toutes sortes, et maintenant des informaticiens. Outre la fraude, en tant que crime central de fraude, les lois pénales répriment plus de quinze types de fraude, dont l’immigration et la fraude informatique. Par rapport à ces derniers, la fraude a suivi le cours des nouvelles technologies pour former des délits « en ligne ». La fraude informatique fait référence au « hacker », par exemple, qui entre avec son ordinateur dans l’ordinateur d’une banque pour effectuer des virements en sa faveur, ou modifier le programme de la banque pour un profit injuste, c’est-à-dire que ce crime est commis avec l’utilisation abusive de l’information technologies, en utilisant toute manipulation dans les systèmes ou dans l’un de ses composants.

Face à l’autonomie, le législateur vénézuélien traite non seulement des formes spécifiques de fraude, mais aussi des cas atténués. Dans le premier, nous trouvons l’utilisation de fausse commande ou de nom d’emprunt ; de la même manière, le soi-disant « stelionate » qui est commis par ceux qui vendent un bien comme le leur, sachant que c’est à quelqu’un d’autre ; ou vendre un bien déjà vendu à une autre personne ; soit il le vend à titre gratuit, sachant qu’il en est repris, soit il a une hypothèque ou fait l’objet d’un litige. La vieille fraude consistant à offrir de partager des faux trésors survit également. C’est une forme de fraude qui s’est effacée au fil du temps par les « morocotas » et les « trésors enfouis » ; mais actuellement, sur Internet, quelque chose de similaire émerge, comme dans le cas de ces faux « héritages à recevoir », lorsque l’auteur prétend, avec des messages qui émeuvent la compassion, une maladie qui les empêche d’accéder à ce supposé « héritage » sans l’aide d’un tiers qui tombe dans l’offre trompeuse en échange d’argent ou de récompense.

En cas de fraude à peine atténuée, il y a, entre autres, la fraude de tombolas ou de tombolas qui est commise par quiconque conserve les sommes perçues sans remettre le lot. Nous avons aussi la fraude de ceux qui détruisent, détériorent ou cachent des choses de leurs biens afin de percevoir le prix de l’assurance. Dans la même catégorie se trouve le comportement de quelqu’un qui achète un bien meuble contre de l’argent et, une fois qu’il le reçoit, ne le paie ni ne le rend.

Les fraudes abondent dans le pays et au-delà du Code pénal on rencontre d’autres types de fraudes dans le vaste champ de la politique, sans aucune barrière qui puisse les contenir. La fraude est une tromperie.