Le Conseil législatif de l’État d’Anzoátegui (Cleanz), par l’intermédiaire de la commission de l’éducation, mettra en place des groupes de travail afin de revoir les frais de scolarité et les activités complémentaires dans les écoles privées et les universités de l’État.
Pour résoudre ce problème, la Surintendance nationale pour la défense des droits socioéconomiques (Sunnde), la Zone éducative régionale, le Ministère de l’enseignement universitaire, le Bureau du défenseur public et les collèges et universités privés de l’État sont intégrés au parlement régional.
Le président de Cleanz, Andrés Márquez, a indiqué que le coût des frais dans les collèges et universités privés de l’entité pour le nouveau trimestre scolaire 2023-2024 sera évalué lors de ces tables de travail.
Márquez a indiqué que l’accord présenté à la session ordinaire numéro 43, les législateurs ont approuvé à l’unanimité cette proposition, au profit des parties impliquées dans le domaine de l’éducation.
« L’intention est d’établir un accord dans lequel la population étudiante et les établissements d’enseignement bénéficieront principalement », a-t-il déclaré.
Il a rappelé que dans le pays, il existe une résolution conjointe entre les ministères de l’éducation et du commerce, qui plafonne les augmentations dans l’enseignement privé.
Selon le Journal officiel 41.956 de l’année 2020, la disposition légale établit la méthodologie spéciale à suivre pour déterminer le calcul des mensualités dans les établissements privés sur tout le territoire national.
Le législateur a confirmé que les rencontres avec les centres éducatifs et autres institutions débuteront le 11 juillet.
avis de réglage
Avant la fin de l’année scolaire, les parents et les représentants des différentes étapes de la formation ont été informés que les écoles privées souhaitaient augmenter le tarif mensuel pour la période 2023-2024.
Pour sa part, le vice-président de l’Association nationale des instituts d’enseignement privés (Andiep), Fausto Romeo, a confirmé que les écoles affiliées augmenteront les inscriptions et les frais mensuels pour couvrir les dépenses de fonctionnement.
Roméo a fait valoir que pour l’année scolaire à venir, davantage de ressources, financières et humaines, sont nécessaires.