Ils rendent hommage au professeur Aristóbulo Istúriz dans la chapelle en feu

Ce mercredi au Palais législatif fédéral, des honneurs ont été rendus au vice-président sectoriel du socialisme social et territorial et ministre de l’Éducation, le professeur Aristóbulo Istúriz, décédé ce mardi vers minuit.

Sur les épaules des cadets des Forces armées nationales bolivariennes (Fanb) est arrivé le cercueil avec la dépouille mortelle du leader révolutionnaire de 74 ans qui a été placé dans la salle elliptique du siège du Parlement vénézuélien où des personnalités de la vie politique du pays et du peuple en général seront présents pour honorer la mémoire de ce Vénézuélien.

12h25. Chanson en l’honneur du chef

Après avoir mis fin à la minute de silence, il a laissé la place au chanteur Alí Alejandro Primera pour dédier la chanson «Song in Greater Pain» de son oncle Alí Primera, une chanson accompagnée par les personnes présentes qui ont fait leurs adieux en larmes au professeur Aristóbulo.

12h23. Minute de silence

Photo: Wimer Errades

Les autorités présentes se sont levées pour donner une minute de silence en l’honneur de la mémoire du ministre Istúriz.

12h19. Garde d’honneur

Photo: Wiler Errades

La première garde d’honneur a été menée par le président de l’Assemblée nationale, le député Jorge Rodríguez; le vice-président exécutif de la République, Delcy Rodríguez; les ministres Nestor Reverol, Freddy Ñáñez, Carmen Meléndez et Ricardo Menéndez, ainsi que par le premier vice-président du Parti socialiste uni du Venezuela (Psuv), Diosdado Cabello, qui s’est tenu à côté du cercueil pour honorer silencieusement le chef politique.

12h14. Paroles du Père Numa Molina

Le prêtre a demandé d’honorer la vie du chef Aristóbulo Istúriz. « Nous devons nous souvenir des luttes, des travaux et de tout ce qu’il a fait pour le pays », a-t-il dit après avoir soulevé une prière pour le repos éternel du ministre.

12h10. Arrivée du cercueil avec la dépouille mortelle

Photo: Wilmer Errades

Sur les épaules des cadets des Forces armées nationales bolivariennes et flanquées du pavillon national, la dépouille mortelle d’Aristóbulo Istúriz arrive au Palais législatif fédéral.