Installation de l’état-major général des femmes à Miranda

Les autorités de l’Union nationale des femmes (Unamujer) ont installé le premier État-major général des femmes dans l’État de Miranda pour renforcer les politiques publiques dans le secteur féminin.

Depuis le siège de la surintendance municipale de l’administration fiscale à Cristóbal Rojas (Sumatcrir), Yosmary Guevara, chef d’Unamujer dans l’entité, a indiqué qu’elle cherchait à servir efficacement les femmes en termes de santé, d’alimentation, d’éducation et d’autres domaines intégraux et sociaux.

L’état-major général des femmes est composé des responsables du Plan d’accouchement humanisé, de l’Institut municipal des femmes et de la famille, Unamujer Clap, des défenseurs des droits des femmes, du Front des femmes productives, des porte-parole des femmes des gouvernements communautaires, des porte-parole des femmes des États-Unis. Parti socialiste du Venezuela (Psuv), Nous sommes le Venezuela, la Commission des femmes du Conseil municipal et porte-parole des communes.

Guevara a déclaré qu’à Charallave, une salle de situation des femmes sera installée, où elles seront surveillées et leur prodigueront des soins complets. Dans cette salle, le nombre de femmes enceintes, de nourrissons, de chantiers de production, les cas de violence et de violation des droits des femmes signalés dans chaque communauté seront systématisés.

De même, les autorités proposeront une orientation, une éducation et une formation sur les questions qui impliquent les femmes dans les domaines du travail et des étudiants. Ils promouvront l’entrepreneuriat productif et le programme de financement par le biais de la banque publique Soy Mujer. De même, ils favoriseront l’étude et l’interprétation de la loi sur la paternité et la maternité, fonction de l’Organe populaire supérieur de justice des femmes et de vulgarisation.

Pour sa part, Yuli Pérez, coordinatrice du plan d’accouchement humanisé à Charallave, a souligné qu’elle travaillait avec la Mission d’identité pour traiter les cartes d’identité des femmes qui actuellement ne disposent pas du document pour diverses raisons.

Il a ajouté qu’une évaluation sera menée avec des brigades du mouvement We are Venezuela afin que les femmes qui ne reçoivent pas le chèque d’allaitement ou de naissance humanisée le reçoivent.