Le JEP confirme l’identité de deux victimes de la décharge. Photo: Jep
Ce jeudi 30 janvier, la juridiction spéciale pour la paix (JEP) a annoncé que l’Institut national de médecine juridique avait atteint L’identification de deux personnes, dont les corps ont été récupérés par le JEP et l’unité de recherche de personnes donnée par Missing (UBPD) dans le vidage.
« Après avoir respecté tous les protocoles techniques et scientifiques requis, il a été confirmé que les résultats correspondent à deux jeunes de la commune 13 et au Corregimiento de San Cristóbal, victimes de la disparition forcée en 2002 », indique l’entité.
Selon les informations fournies par le JEP, Ceci est une femme de 20 ans et une 28 ans, Les deux des secteurs populaires de la ville appartenant à une population vulnérable.
Aucune des deux victimes n’a eu de casier judiciaire, d’enquêtes, de condamnations ou de dossiers dans les dossiers de renseignement. «La vérité judiciaire, construite à partir de preuves, de témoignages et d’analyse médico-légale, confirme que la décharge était un lieu de disparition forcée en Colombie», Confirme le JEP.
La jeune femme sait, selon les plaintes de sa famille, qui a quitté sa maison à 19h00 le 30 juillet 2002 pour assister à une réunion. J’organisais des activités compétitives en tant que coordinatrice d’un groupe de jeunes sportives.
Cette nuit-là, apparemment, membres armés du bloc de chef Nutibarales mois avant qu’ils ne s’étaient installés à San Cristóbal, ont fait irruption dans la réunion et l’ont pris. Le 31 juillet, même entre les mains de ses ravisseurs, Ils lui ont permis d’appeler sa mère pour l’informer qu’il avait reçu l’ordre de déménager; C’était la dernière fois qu’il avait ses nouvelles.
«Les preuves recueillies par le JEP, dans le cadre du processus judiciaire, indique que Le crime s’est produit huit jours après la disparition d’un chef communautaire reconnu du secteur. Apparemment, la jeune femme aurait été transférée vivante du Corregimiento de San Cristóbal, où elle exploitait ouvertement une base paramilitaire, vers la décharge, où un autre travaillait. Là, elle a été tuée et enterrée », détaille le JEP.
Dans le cas du 28 ans -old, le bureau du procureur général aussi Associe son crime au bloc Nutibara cacique de l’unité des forces d’auto-défense de Colombie (AUC), Dans une éventuelle collaboration avec la structure connue sous le nom de José Luis Zuluaga, alors dirigé par Luis Eduardo Zuluaga, connu sous le nom de «MC Giver». Ce groupe avait une présence notoire dans la commune 13, en particulier au cours des années 2001 et 2002.
De ce deuxième cas, il est connu que la victime J’étais dans un état d’invalidité physique et mentale, Il a souffert d’épilepsie et a déménagé avec difficulté, ce qui le rendait particulièrement vulnérable. Il vivait chez ses parents et a généré des revenus en tant que vendeur de rue. Le 13 octobre 2002 à 7h30 du matin, il a quitté son domicile, situé dans le quartier de Belencito, Et depuis ce jour, sa famille n’a pas eu de nouvelles sur son sort.