La Copei appelle à la défense non partisane du territoire d’Essequibo

Le parti social chrétien Copei appelle à la défense non partisane du territoire d’Essequibo, c’est pourquoi il se déploie dans le pays dans une campagne de sensibilisation sur cette question en vue du référendum consultatif qui aura lieu le 3 décembre.

« Ce n’est pas un élément partisan, c’est une question patriotique. « J’exhorte la société à ne pas voir cela comme une particularité du PSUV ou du gouvernement », a déclaré le président de la Copei, Miguel Salazar.

En ce sens, il a assuré que les Vénézuéliens « nous ne demandons rien, le territoire d’Essequibo est à nous, la Guayana Esequiba appartient à l’État », a-t-il déclaré dans une interview télévisée revue par AVN.

« Ce qui reste ici, c’est d’appeler à la réflexion, pour qu’ils comprennent », a-t-il indiqué en référence aux petits secteurs qui rejettent la consultation convoquée par le Pouvoir Electoral et appelé « à trouver une manière de rendre cela non partisan ».

Dans ce sens, le député de l’Assemblée Nationale (AN) et membre de la Commission Permanente de Politique Extérieure, Souveraineté et Intégration, a expliqué que le militantisme et le leadership du Copei abordent la campagne de sensibilisation du côté historique, centrée sur le protocole de Port d’Espagne et l’accord de Genève.

Salazar a souligné que l’organisation politique qu’il dirige est la seule à avoir une adresse nationale numéro 25, à Guayana Esequiba, composée d’un président, d’un vice-président et de toute la structure organique liée aux statuts du parti.

« Nous privilégions toujours la solution entre deux États qui doit être pacifique », a souligné Salazar, appelant la population à se joindre à la campagne de défense du territoire, ainsi qu’à participer à la simulation électorale prévue ce dimanche 19 décembre. .novembre.