Les émotions font partie de notre quotidien. Ceux-ci nous permettent de nous sentir vivants et d’affronter des situations ; Cependant, les émotions négatives telles que la peur et la tristesse peuvent provoquer diverses maladies lorsqu’elles surviennent de manière chronique.
C'est ce qu'explique le célèbre cardiologue, spécialiste en imagerie cardiaque, Martín Lombardero, qui s'est distingué tout au long de sa carrière en axant ses études sur l'analyse du rôle des émotions dans la santé.
Selon l'une des publications les plus récentes de ce membre de la Société Argentine de Cardiologie « Le cœur est conscient. Cela peut changer votre destin cardiologique », Les émotions conditionnent la partie physique.
Cet expert a montré à travers des histoires vraies comment les patients qui souffraient événements cardiovasculaires Leur développement avait une racine émotionnelle.
« Il faut remonter un peu en arrière pour comprendre cela et voir que nos gènes n'ont pas changé ces dernières années, mais notre culture a changé. Il y a 300 mille ans, nous vivions avec les émotions des animaux, avec les quatre émotions principales que sont la peur, le dégoût, la surprise et la colère ; Avec ces émotions, nous avons pu survivre », a-t-il déclaré.
Auparavant, ces émotions nous permettaient de survivre et de surmonter l'adversité, mais désormais, Culturellement, nous vivons avec des peurs constantes qui peuvent nous rendre malades à long terme.
« Cette peur instinctive qui nous a sauvés est le prédateur qui nous coule, car on a peur de tout, de perdre son travail, de se faire voler, de tomber malade. Vous ressentez tout le temps cette peur qui génère une légère inflammation systémique chronique », a-t-il conclu.
La peur constante peut nous affecter à la fois physiquement et mentalement, augmentant le risque de développer des troubles ou des pathologies telles que : troubles obsessionnels compulsifs, troubles anxieux, crises de panique, syndrome de stress post-traumatique, phobies, problèmes cardiovasculaires, hypertension, entre autres.
« La psychologie clinique est une ressource parfois nécessaire pour vaincre ces troubles, car la personne atteinte est très limitée dans son quotidien. Dans les cas où la gravité est extrême, le médicament produit des effets très bénéfiques. Nous ne devons pas oublier que nous ne pouvons jamais nous soigner nous-mêmes », déclare la Fondation ONCE.