Le chiffre 10

Le chiffre 10, base du système numérique créé en Inde mais diffusé en Occident par la splendide culture arabe, symbolise le début d’un nouveau cycle et la fin d’un autre. Il est associé au pouvoir de transformer et de manifester les désirs.

10 est la base du système numérique et même de la civilisation. C’est l’un des fondements des mathématiques, une discipline que nous devrions appliquer beaucoup plus, même si c’est en hommage aux innombrables fois où le commandant Hugo Chávez a déclaré qu’« il aimait les mathématiques » et qu’il les utilisait pour prendre ses décisions.

Notre président élu, Nicolas Maduro, prêtera serment en tant que président de la République bolivarienne du Venezuela le 10 janvier devant l’Assemblée nationale. Un 10 janvier dans l’histoire, symbole d’une attitude souveraine et indépendante, contre la volonté d’un pays dangereux et violent comme les États-Unis, qui constitue actuellement la pire menace pour l’humanité.

À bien des égards, ce sera le début d’un cycle mondial, coïncidant presque avec le début du deuxième mandat de Donald Trump, qui débutera le 20 janvier, ce qui présage des temps difficiles pour l’humanité. Depuis plusieurs semaines, Trump menace non seulement les adversaires géopolitiques des États-Unis, mais nombre de leurs alliés. Il semble que, puisque les États-Unis ont échoué dans leurs confrontations avec leurs ennemis, ils vont maintenant tenter leur chance contre leurs amis.

Cette inauguration sera sans aucun doute la plus médiatisée de l’histoire du Venezuela. Il faut le dire, grâce aux Yankees et à leurs marionnettes Edmundo González et María Corina Machado. Certains médias en parleront, mais les images seront éloquentes : le véritable pouvoir au Venezuela est un seul, protégé par sa Constitution, ses lois et ses institutions.

C’est précisément la loi que la droite considère comme un obstacle à la réalisation de ses objectifs. Une démonstration du fait que la droite n’a aucun respect pour la loi, ni pour les principes de justice, est la campagne irrationnelle selon laquelle « les élections ont été volées ».

Ils n’en ont aucune preuve. Faut-il créditer les fausses preuves publiées par l’opposition plutôt que le prétendu « manque de preuves » du CNE ? C’est-à-dire que dans le cas de l’opposition la fraude a été démontrée, dans le cas du CNE elle n’est pas prouvée mais plutôt dénoncée sans preuve. Dans un État de droit, personne n’est coupable jusqu’à preuve du contraire.

Même après le 10 janvier, nous devons continuer à démanteler la campagne visant à discréditer notre pays.

Le nouveau cycle qui commence le 10 janvier sera très prometteur pour le Venezuela, même si nous rencontrons des obstacles en cours de route. Nous avancerons vers l’avenir que nous méritons et nous gagnerons !