Le gouvernement vénézuélien a rejeté les récentes déclarations attribuées au secrétaire général des Nations Unies (ONU), António Guterres, après avoir présenté une position visant à « forcer l’État vénézuélien à reconnaître la juridiction obligatoire de la Cour internationale de Justice ». (CIJ).»
Dans un communiqué, le gouvernement national affirme que « tout mécanisme défini pour traiter la controverse entre le Venezuela et la Guyane doit avoir le consentement exprès des deux pays », de sorte que les propos de Guterres modifient cet engagement et favorisent par avance les intérêts d’ExxonMobil et les États Unis.
#Libérer Le Venezuela rejette les récentes déclarations attribuées au secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, faisant référence à la controverse territoriale avec la République coopérative de Guyane, qui ne peut être que définie comme illégale et… pic.twitter.com/bcaNMP8rVr
-Yvan Gil (@yvangil) 6 décembre 2023
Le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a rappelé ce mercredi 6 décembre au Venezuela et à la Guyane que les arrêts de la Cour internationale de Justice (CIJ) concernant Essequibo « sont contraignants, et il espère que les deux États se conformeront dûment à la sentence ». du tribunal ».
En ce sens, le Venezuela a rappelé que notre pays fait partie des 119 pays dans le monde, y compris la Guyane, qui « ne reconnaissent pas la juridiction obligatoire de la CIJ ». Pour cette raison, ils soutiennent que la Guyane est un pays occupant de facto le territoire d’Essequibo, une position qui « a été expressément exprimée par le Venezuela à 12 reprises » devant l’ONU.
Le communiqué conclut en souhaitant que le secrétaire de l’ONU « corrige ce faux pas et revienne sur la voie du droit international, en appliquant les postulats de l’accord de Genève de 1966 ».