Mininter: l’expulsion des étrangers en situation irrégulière commence le 10 novembre

Vicente Romero, ministre de l’Intérieura appelé les étrangers résidant dans le pays à régulariser leur situation migratoire jusqu’au 10 novembre car, à partir de cette date, les expulsions de ceux qui restent en territoire péruvien illégalement.

Le patron du Portefeuille intérieura indiqué qu’une coordination avait été faite avec les autorités vénézuéliennes (le pays le plus peuplé du Pérou) pour faciliter ces expulsions, et qu’elles ont montré leur volonté de soutenir cette cause.

Lors d’une conférence de presse dans le quartier de San Martín de Porres, Vicente Romero Il s’adressa aux étrangers. « Je veux appeler tous les étrangers à essayer de se régulariser le plus rapidement possible, la date limite étant le 10 (novembre). Nous avons fait des démarches tant auprès de l’ambassade de Venezuela; Nous avons récemment eu une réunion virtuelle avec le vice-ministre du Venezuela, afin de faciliter le travail que le Pérou»,

Concernant les moyens d’expulser les étrangers illégaux du Pérou, Vicente Romero Il a indiqué qu’ils évaluaient si cela se ferait par voie aérienne ou terrestre.

« Nous essayons d’envisager différentes manières d’expulser. Il existe une compagnie aérienne, Latam, qui assure des vols Lima-Caracas depuis plus ou moins trois mois. Cette semaine nous les rencontrerons probablement pour voir comment nous pouvons faciliter (l’expulsion) le plus rapidement possible».

Le ministre de l’Intérieur, Vicente Romero, met en garde contre un délai pour la régularisation des étrangers. Photo de : Miniinter

Le ministère de l’Intérieur n’a pas décidé si l’état d’urgence sera prolongé

D’autre part, il a également évoqué le État d’urgence dans les trois districts de Lima, plus Cercado, précisant qu’il n’a pas encore été décidé si son extension serait assurée, car cela dépend de l’évaluation réalisée par le Police nationale du Pérou (PNP).

Enfin, il a observé que le nombre d’arrestations des Police, mais seulement 5 % arrivent en prison. « Il faudrait voir dans cette chaîne de valeur où se situe le piège.».

« Les statistiques que le INPE de tout le nombre d’arrestations effectuées par le PNP Ils concluent que sur 100 % (des détenus), seulement 5 % finissent en prison. Là, il faudrait voir dans cette chaîne où se trouve le piège, mais nous travaillons précisément à résoudre cela. Hier, j’ai rencontré le président du pouvoir judiciaire (Javier Arévalo) et je pense que nous sommes sur la bonne voie.dit.