Politique et médias sociaux

05 mars 2021 – 23h55


Pour:

Éditorial.

Les réseaux sociaux, tels que Twitter, sont devenus l’espace pour faire de la politique et créer des personnages qui dans de nombreux cas sont faits d’argile.

De plus, ils sont aujourd’hui une scène de corruption, où il est payé pour augmenter la popularité d’un gouvernement, pour dénigrer un adversaire ou générer des tendances, même si elles sont fausses.

La pratique a été adoptée il y a 20 ans par le régime chaviste au Venezuela, payant ceux qui écrivaient sur les réseaux pour leur soutenir ou reproduisant leurs messages, avec l’étiquette appropriée diffusée par le gouvernement.

Le bonus est venu chaque semaine par le biais du «lien de la patrie», une façon d’extorquer de l’argent et d’acheter une aide en profitant des besoins de subsistance.

Maintenant, et de manière surprenante, la dictature a annoncé la fin de cette affaire, réclamant des mesures d’austérité.

C’est une pratique honteuse, qui, cependant, n’est pas si rare ou exclusive au Venezuela.

En Colombia lo más parecido son las llamadas ‘bodeguitas’ en las que gobernantes locales y departamentales o algunas organizaciones políticas les pagan a funcionarios oa gente que reclutan para que escriban mensajes a favor de ellos, cacen peleas, distribuyan información tendenciosa, insulten o desvíen la opinion publique.

C’est la dégradation des réseaux sociaux et la commercialisation de la conscience, qui est devenue la manière la plus méprisable de faire de la politique au Venezuela, en Colombie et dans le monde.