Comme l’expliquent les coordinateurs, le groupe de travail cherche à agir en harmonie avec les principaux acteurs impliqués dans la formulation des politiques de lutte contre l’insécurité alimentaire, en évitant de réaliser des tâches déjà réalisées ou de proposer des mesures déjà adoptées. « D’où l’importance d’une articulation étroite avec les groupes de recherche et les organismes gouvernementaux et non gouvernementaux qui travaillent dans l’investigation et la lutte contre l’insécurité alimentaire », soulignent-ils.
D’une part, le groupe cherche à répertorier les différentes initiatives que l’USP a sur le sujet. « Parmi eux, il y a des groupes de recherche sur les politiques publiques alimentaires, qui étudient la pauvreté et la faim, qui travaillent dans les communautés et les écoles, qui étudient l’agriculture durable, le gaspillage alimentaire, la sécurité alimentaire, l’interface avec le problème du changement climatique, l’éducation alimentaire et la santé , entre autres », énumèrent-ils. De plus, ajoutent-ils, la présence, dans le GT, de chercheurs dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA), a permis des progrès dans la compilation et l’analyse intégrée de plusieurs bases de données, rationalisant et favorisant l’interprétation de ces données et informations.
