Respect des 4 lignes : qui réglemente le football ?

Que le football soit le sport le plus consommé et le plus pratiqué dans le monde, et un symbole de l’identité brésilienne, c’est un fait de notoriété publique. Mais même si nous savons les règles du jeu, peu savent À qui appartiennent les règles qui définissent le jeu.

Dans ce texte, nous allons vous expliquer ce qu’est la CBF et comment fonctionne la régulation du football brésilien.

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Alors, qui réglemente le football ?

Créée en 1914, sous le nom de Fédération sportive brésilienne, la première entité nationale de football apparaît et, à partir de là, commence la croissance effective de sa structure formelle.

Au 21ème siècle, nous avons un cadre administratif gigantesque pour supporter ce sport de poids, et tout cela garanti par cette même entité, mais maintenant avec un autre nom, et un acronyme très connu : FCB.

FCB. Image : photos publiques

Responsable de organisation et gestion d’événements footballistiques liée au Brésil, la Confédération brésilienne de football (CBF) a son propre ensemble de règles et règlements, visant à délimiter la structure du sport dans le pays. En dehors de cela, l’entité a ses bras indépendants, pour embrasser cet art du pied de manière plus démocratique.

Sur le terrain, c’est l’arbitre qui siffle la faute ! Et en sortir ?

Le Tribunal Supérieur de Justice Sportive du Football (STJD) est chargé de juger les affaires d’infractions disciplinaires et les compétitions sportives dans le domaine du football. Dérivé de la CBF, bien qu’étant un organisme autonome, le STJD il est composé de commissaires aux comptes, choisis par les entités sportives, et de membres du ministère public, nommés par le procureur général de la République.

Les décisions du STJD peuvent être contestées devant les tribunaux ordinaires, et c’est là que le droit et le sport s’entremêlent, mais seulement après que toutes les instances de la justice sportive ont été épuisées.

La jurisprudence brésilienne est claire en indiquant que le pouvoir judiciaire doit respecter l’autonomie des entités sportives dirigeantes et ne peut intervenir dans les affaires sportives que lorsque l’illégalité ou l’inconstitutionnalité de la décision rendue par l’entité est évidente.

Un respect mutuel entre les 4 lignes, connotatives et dénotatives, de la Constitution et du domaine.

Plusieurs performances controversées sont souvent rappelées par les fans lorsque les discussions sur le terrain de sport reviennent.

Des affaires emblématiques, comme la « course aux points pour la relégation », menée par des clubs comme Portuguesa, Fluminense et Flamengo en raison d’alignements irréguliers de joueurs, en 2013, finissent souvent par être utilisées comme un instrument de délégitimation du tribunal, puisque la passion dans le sport est bien plus intense que la rationalité normative.

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Et quand l’arbitre donne ‘balle sortie’ ?

Lorsque les prétentions des parties ne sont pas résolues par les règlements exprimés par ces entités, le contentieux sportif finit par être délégué à la justice commune.

Dans de nombreuses situations, à cause de cela conflit juridiquesportives et communes, les situations juridiques survenues dans le domaine, relèvent de la cours supérieures.

Dans le domaine juridique, le STJ et le STF sont des juridictions supérieures de l’État brésilien, compétentes pour juger respectivement les affaires de niveau infraconstitutionnel et constitutionnel.

Bien qu’ils ne soient pas spécialisés dans ce créneau juridique du sport, ils ont toute latitude pour stipuler la décision finale de controverses extrêmement capillarisé du monde du football.

Indemnisation de la défaite ?

Fin de la seconde mi-temps, match de championnat, score à égalité 0 x 0, votre équipe a besoin de la victoire pour se qualifier dans le tournoi. Peu avant le coup de sifflet final, un joueur de son équipe est renversé dans la surface adverse, mais l’arbitre n’accorde pas de penalty, mettant fin au match et provoquant le mécontentement du public. Plus tard, l’arbitre admet son erreur de jugement.

Cela soulève la question : les fans peuvent-ils demander une indemnisation pour dommages moraux?

En 2013, le Quatrième Panel de la STJ a jugé un appel spécial déposé par un fan de l’Atlético Mineiro qui a affirmé avoir subi des pertes en raison de l’échec de marquer un penalty en faveur de son équipe contre Botafogo lors de la Copa do Brasil 2007.

Le plaignant a demandé une indemnisation de 60 fois le salaire minimum pour dommages moraux, arguant que les supporters sont considérés comme des consommateurs et que la Confédération brésilienne de football (CBF) n’avait pas fourni le service.

Bien que le ministre Luis Felipe Salomão ait reconnu l’égalisation des fans à consommateursil a souligné que le cas en question était lié à une erreur d’arbitrage, qui était une erreur involontaire.

Il a fait valoir qu’il n’y avait aucune attente légitime qu’un événement sportif puisse se dérouler sans erreur d’arbitrage et qu’en l’espèce, il n’y avait aucune preuve que l’action avait causé un préjudice moral. De plus, la conversion du penalty en but était incertaine et le penalty n’aurait peut-être pas été accordé même si un autre arbitre avait sifflé le match.

Le ministre a également déclaré que la défaite d’une équipe, même si elle était attribuée à une grossière erreur d’arbitrage, n’était qu’une déception et n’avait pas le pouvoir de causer des souffrances intenses et durables au ventilateur. Il a donc rejeté la demande de dommages-intérêts.

A qui appartient ce « 87 » ?

Le controversé et célèbre championnat brésilien de 1987 est le personnage de l’une des plus grandes discussions promues par le football vert et jaune. Le duel entre les Rouges-Noirs se poursuit à ce jour, et sa décision institutionnelle a été conférée via stfen 2018.

Séance du Tribunal fédéral
STF. Image : Photos publiques

L’affaire a pour origine un procès intenté par Sport en 1988 contre la CBF et l’Union pour reconnaître la validité du règlement initial du championnat brésilien de 1987. La demande a été acceptée par le jugement du 10e Tribunal fédéral de Pernambuco et la sentence est devenue définitive en 1999 .

Flamengo essaie d’être officiellement considéré comme le champion brésilien de 1987 aux côtés de Sport depuis de nombreuses années. Cependant, Sport veut continuer à être reconnu comme le seul champion, selon la décision finale rendue par la Cour en 2001, en réponse à une action du club lui-même.

L’affaire est revenue devant les tribunaux lorsque la CBF a publié une résolution en 2011 reconnaissant Flamengo comme champion. L’entité avait ignoré la réclamation pendant des années, ayant même reconnu des titres d’autres équipes telles que Palmeiras, Fluminense, Botafogo et Santos.

Par la suite, Sport a déposé une plainte auprès du Tribunal régional fédéral (PE) pour invalider la décision de la CBF, qui a été acceptée. C’est alors que Flamengo a fait appel à la Cour supérieure de justice (STJ) et plus tard à la STF, mais les deux appels ont été rejetés.

La Cour suprême fédérale (STF) a rendu la décision finale : Sport est le seul champion brésilien en 1987. La cour avait déjà rejeté deux appels de Flamengo en 2017 et la décision, un an plus tard, est devenue définitive, mettant fin au délai pour le club carioca. faire appel et essayer de changer le verdict.

Les juges extérieurs construisent également le jeu

Bien qu’ils soient souvent moins connus que les tribunaux ordinaires, les STJD et d’autres terrains de sport jouent un rôle clé dans la régulation du football brésilien.

Comme nous l’avons vu, ils sont chargés de trancher les cas qui peuvent avoir un impact significatif sur la compétition et sur la réputation des clubs, des joueurs et des entraîneurs impliqués.

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Bien que les décisions rendues par ces tribunaux fassent parfois l’objet de controverses et de critiques, il est important de rappeler qu’ils constituent un élément essentiel du système juridique du football et que leur travail doit être respecté et valorisé.

Après tout, le respect des quatre lignes signifie non seulement suivre les règles du jeu, mais aussi respecter les décisions prises par les autorités qui sont chargés de les faire respecter.

Mais vous dites : cette structure réglementaire actuelle du football brésilien est-elle un grand but ou un but contre ? Êtes-vous d’accord avec les décisions rendues par ces tribunaux? Laissez votre avis dans les commentaires, craquez !

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