Rosmeri Marval est revenue à la télévision après plusieurs années d’absence. Cette rupture lui permet de fonder une famille avec le chanteur Aran One avec qui, en plus d’avoir deux enfants, il partage le générique de « Dramatics ».
Elle dit de son personnage dans la série qu’elle lui ressemble beaucoup, car pour façonner Abigail Domínguez, l’actrice – avec la liberté de créer – a regardé en elle-même. Il y retrouve cette jeune femme parfois impétueuse mais dont le talent et la ruse se perdent de vue.
Sur Venevisión, vous pouvez voir le travail de Rosmeri Marval du lundi au vendredi, à 21h00.
— Que diriez-vous de revenir sur le plateau même après avoir vécu à l’étranger ?
— C’est vraiment une merveilleuse opportunité. Je suis très reconnaissante que vous m’ayez appelé pour ce retour de la fiction au pays. J’étais super heureux, comme vous le dites, j’ai passé quelques années à l’extérieur du pays en travaillant beaucoup, Dieu merci. Mais pouvoir retourner dans mon pays, faire ce que j’aime, faire ce que j’ai toujours fait, c’est un immense honneur.
En outre, à côté de grandes figures comme Lupita Ferrer, Tana Sarabia ou Mimi Lazo, des personnes que j’ai admirées toute ma vie et avec qui j’ai grandi. J’ai beaucoup appris d’eux et c’est pourquoi c’est un immense honneur de pouvoir travailler et agir à leurs côtés. Quelque chose qui n’a vraiment pas de prix.
—Est-ce que tu avais des papillons dans le ventre ?
-Toujours! Surtout parce qu’on espère que les gens profiteront pleinement de chaque projet.
— De quoi parle votre personnage et comment s’est déroulé le processus pour le trouver ?
—Eh bien, mon personnage s’appelle Abigail Domínguez, on peut dire qu’elle me ressemble, car elle a quelques touches de ma personnalité. C’est une fille super avant-gardiste, qui aime aussi jouer, qui s’est beaucoup entraînée pour pouvoir réaliser ce qu’elle réalise ici dans la série. Eh bien, vous verrez plus tard. Vous ferez l’expérience de tout le drame de ce que signifie être sur une chaîne. Sérieusement, c’est une histoire super amusante, mais elle contient aussi beaucoup de drame et beaucoup d’amour. Je ne vais pas vous dire avec qui. Je suis sûr que vous allez l’adorer, comme toute la série.
—Avez-vous déjà des invitations à jouer au théâtre ou à la télévision ?
— Oui, bien sûr, il y a quelques offres qui flirtent. Même quelque chose au cinéma, qui est quelque chose qui me semble merveilleux et que j’adore. Espérons que cela se concrétise car, d’ailleurs, je n’ai jamais fait de cinéma. Ce serait donc une merveilleuse première opportunité et c’est quelque chose de très grand. Croisons les doigts pour que cela arrive. Quand ce sera le cas, je l’annoncerai.
—A-t-il été facile de réaliser le travail sur « Drames » et de s’occuper également des deux enfants ?
— Non, c’était assez compliqué. En fait, j’ai deux petits bébés : un enfant de quatre ans et un autre d’un an, qui vient de le tourner alors que nous étions en plein enregistrement. Dieu merci, nous avons le soutien d’une femme merveilleuse qui nous a aidé avec Ian depuis qu’il était presque nouveau-né, lorsque nous étions en Colombie, et il fait déjà partie de la famille. Je pense que beaucoup de gens qui nous suivent la connaissent comme nous, elle s’appelle Amparito. Nous l’avons amenée de Colombie pour nous soutenir car c’est une personne en qui nous avons confiance à 100%. C’est lui qui nous a soutenu lors de l’enregistrement de la série.
—Arán vient de sortir la chanson sur les requins de La Guaira. Il a connu une promotion importante dans sa carrière ces derniers mois… Comment faites-vous pour que cela ne heurte pas votre dynamique habituelle ?
—Dieu merci, je suis vraiment super heureux et aussi très fier d’Aran. Il se trouve dans une scène et un moment merveilleux. En tant qu’épouse, qui est à ses côtés tout le temps, j’ai vu tous les efforts qu’il a déployés pendant tant d’années et de voir comment chacune de ces choses se concrétise, c’est vraiment un immense honneur et une grande fierté pour moi. . Toujours le soutenir, tout est une question d’organisation. Évidemment, je reste là-bas avec les enfants ou il va travailler ou je dois sortir. Nous y voilà comme si nous nous organisions, mais nous nous soutenons toujours autant que nous nous caractérisons depuis le premier jour.