Scandale pour « événement clandestin » à San Gil où Jessi Uribe a chanté

Une fois de plus Jessi uribe est dans l’œil de l’ouragan, cette fois pour avoir participé à un événement massif à San Gil, Santander, alors que cette région traverse l’un des pics les plus critiques en raison de la COVID-19[FEMININE

Il est actuellement à plafond d’occupation UCI, mais la fête se tenait toujours, qui se tenait dans un hôtel renommé. Cela a été animé non seulement par l’artiste de musique populaire, mais aussi par d’autres collègues.

Hermes Ortiz, maire de San Gil, a confirmé sur Blu Radio qu’en fait ladite réunion était « clandestine », car en plus de ne pas avoir respecté les normes de base en matière de biosécurité, il n’y avait pas eu de préavis.

« Il n’avait aucune autorisation de l’administration municipale. L’événement était privé et, apparemment, c’était l’anniversaire du propriétaire de l’hôtel« , a déclaré le président, précisant qu’il y aurait des sanctions entre les deux.

Agegó a déjà commencé l’enquête pertinente et lorsqu’il sera confirmé qui était derrière l’organisation de la réunion massive où l’interprète de « Sweet Sin » a chanté, des mesures drastiques seront prises, telles que la suspension du label de biosécurité de l’Hôtel Catillo Resort, ce qui provoquerait son éventuelle étanchéité.

La police de Santander a révélé que l’événement avait eu lieu entre 5 heures de l’après-midi et 10 heures du soir, de sorte que les invités n’auraient pas enfreint la restriction de la couvre feu qui existe depuis longtemps dans cette région.

Cristian Fabian Álvarez, responsable de l’établissement, a assuré dans une interview à Caracol Radio que des tests PCR négatifs étaient nécessaires pour permettre l’entrée et qu’en outre, la célébration a été organisée dans un espace ouvert idéal pour 500 personnes, dont seulement 100. Cependant, une série de vidéos diffusées montre le contraire.

Le maire a critiqué le manque d’empathie et l’inconscience des participants, car il s’agit d’un manque de respect envers le personnel médical de la commune, qui se livre depuis quelques mois, notamment lors de ce troisième pic, des batailles complexes pour sauver le plus de vies possible, tandis qu’un autre petit secteur agit de manière irresponsable.