Netflix présente ce mardi 17 octobre « Trial of the Devil », un documentaire qui vous fera dresser les cheveux sur la tête alors que l’affaire du meurtre se poursuit sans se laisser intimider. « À travers des dramatisations et des vidéos personnelles, ce sombre documentaire enquête sur la possession démoniaque apparente d’un enfant… et le meurtre brutal qui a suivi », indique le synopsis officiel.
Inquiétant, le projet d’une heure 21 minutes compile des informations liées à l’affaire, notamment le dossier judiciaire d’Arne Cheyenne Johnson. L’audiovisuel fait ainsi revivre l’un des crimes les plus célèbres aux États-Unis qui ont secoué l’opinion publique et qui inspireront des films comme « The Conjuring 3 : The Devil Made Me Do It ».
Objet de culte en raison du grand mystère qui l’entoure, il projette des poussières d’autres histoires derrière l’affaire. Parmi eux se trouve celui de Johnson lui-même, qui a cherché à prouver son innocence en se prétendant victime d’une prétendue possession démoniaque.
Reconnu coupable de meurtre au premier degré après le décès de son propriétaire Alan Bono, l’incident s’est produit le 16 février 1981 dans le Connecticut. Poignardé à plus de 20 reprises, cet homme de 40 ans est décédé alors que le jeune homme de 19 ans déclarait l’incident. C’était alors le premier cas où la possession était mentionnée comme cause des actions.
En ce sens, le documentaire analyse la stratégie juridique pour la défendre avec des témoignages de première main et des enregistrements réels de la prétendue possession. Le développement raconte l’histoire extraordinaire d’une famille qui a perdu le contrôle.
La bande-annonce officielle révèle que le projet commence l’enquête plusieurs mois avant le crime. Les aspects juridiques sont abordés, mais aussi les aspects éthiques et religieux.
Les démonologues originaux et enquêteurs paranormaux Ed et Lorraine Warren (qui ont inspiré la franchise de films d’horreur) apparaissent également pour s’occuper de l’affaire. Selon Netflix, c’est la première fois que les personnes impliquées font des déclarations sur ce qui s’est passé. Il est contesté si l’agresseur souffrait de schizophrénie et avait besoin d’une aide psychiatrique, plutôt que d’un exorcisme. Le producteur qui a réalisé « Pamela Anderson : A Love Story » était à l’origine du projet.