La réinterprétation du cinéma zombie C'est l'un des locaux de « Vincent doit mourir »un film tiré par les cheveux qui est en même temps une satire d'un monde dans lequel, à travers les réseaux sociaux et leur monde immédiat, n'importe qui devient facilement haï.
Dans cette coproduction franco-belge, la notion de zombie prend une autre nuance, puisque ce ne sont pas forcément ceux qui Ils appartiennent au monde des morts-vivants Ils sont la représentation traditionnelle, mais les êtres humains eux-mêmes dans le monde de tous les jours peuvent le devenir, mais leur désir n'est pas de se nourrir de chair humaine, mais de battre leur cible à mort.
Ce film a été l'une des grandes révélations du passé Festival de Sitges en Espagne et a remporté deux prix, un pour meilleur acteur, Karim Leklouet un autre à réalisateur révélation avec Stéphan Castangmais au festival du film Fantasia à Montréal, Canada.
un monde fou
Dans ce film, un homme est victime de tous ceux qu'il regarde dans les yeuxau début ce sont ses voisins et collègues de travail, mais ensuite c'est n'importe qui qui peut se réunir en un grand groupe, pour le style zombie, il suffit de le poursuivre pour je veux le battre à mort.
C'est un regard critique sur un monde violent dans lequel il faut simplement se préparer et se défendre, ce film au ton de comédie noire fait rire par sa grâce macabre et son style zombie qui le rapproche de la science-fiction, ce qui se voit dès le début lorsqu'un étrange virus se propage. , provoquant une vague de violence incontrôlée en France.
Vincent Must Die est un film étrange et différent qui rafraîchit le panorama, et bien qu'elle ait une coupe bizarre, la satire de la société moderne Ce n'est pas nécessairement une exagération, puisque cette production explore des aspects aussi actuels que la paranoïa, la solitude ou encore la résilience, un mot à la mode qui désigne la capacité à résister à un monde de plus en plus difficile.