Le Conseil électoral national progresse dans l'organisation des élections législatives prévues le 6 décembre prochain et selon le calendrier publié sur son site Internet, il prévoit 15 audits pour protéger le processus.
Les examens ont commencé par la vérification du système de sélection automatisé des organes électoraux subordonnés, auquel ont participé 25 partis nationaux et cinq organisations autochtones, qui ont jusqu'à aujourd'hui pour soumettre leurs observations aux bases de données, toutes deux du registre électoral pour la coupure du mois. Mars 2020, à partir de la base de données éligible. Le processus de sélection aura lieu le 23 juillet.
Afin de garantir la transparence et la fiabilité du système électoral, l'entité a mis en place quatorze examens supplémentaires. Le prochain est prévu pour le 14 août, date de l'audit du registre électoral, dont le processus d'inscription et de mise à jour restera ouvert jusqu'au 26 de ce mois.
Du 26 au 30 septembre, la phase I de l'audit des données électorales est prévue.
Du 5 au 16 octobre, le logiciel des machines à voter sera revu et du 26 octobre au 6 novembre le logiciel de totalisation sera audité et le 30 octobre le fichier des machines sera vérifié.
Le 9 novembre, les révisions de l'infrastructure technologique électorale commenceront, qui s'achèveront le 13, et la production des machines à voter, qui se poursuivra jusqu'au 28. Les carnets de vote seront vérifiés du 10 au 12 novembre. Le 29 novembre l'audit de pré-expédition des machines sera effectué et les 4 et 5 décembre leur mise à zéro sera vérifiée.