Barcelone à égalité à Nuevo San Mames grâce à Memphis Depay

Le premier buteur du Néerlandais Memphis Depay a évité le premier revers de Barcelone dans l’ère post-Messi, sauvant un point à San Mamés du pied gauche contre l’affichage de fierté de l’Athletic Club, et laissant un leadership provisoire amer à Ronald Koeman. équipe en l’absence de celle de dimanche Le Real Madrid, l’Atlético de Madrid et Séville jouent leurs matchs lors de la deuxième journée.

Le nouveau Barça a exigé un leader, déjà sans le sauveur Leo Messi dans son équipe, et Memphis a demandé une passe, avec beaucoup de personnalité. Le combat de Sergi Roberto dans un ballon divisé a transformé Depay en or pur à quinze minutes de la fin, pour éviter la première défaite après un beau duel de forces.

La séquence d’invincibilité de Marcelino García Toral avec Barcelone est prolongée. Peu de fois dans sa carrière, il sera aussi proche que cette fois. Avec son équipe démontrant une puissance physique pour défigurer l’équipe de Koeman, avec une pression agressive, mettant un rythme qui a fait des ravages sur une coiffe de Gerard Piqué et a provoqué la première d’un couple inédit : Eric García-Araujo.

Eric a été expulsé dans un match dont il ne se souviendra pas bien. Indiqué dans le tant reçu, dans le énième lancement du coin d’un Athlétique qui a assiégé jusqu’à trouver le prix avec une tête impeccable d’Íñigo Martínez à 50 minutes. De Jong a tiré de Barcelone dans ses moments faibles et Memphis est venu à la rescousse dans un duel qui a tout eu (1-1).

Photo : EFE

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Le départ de Majorque devient l’une des nouvelles des premiers chapitres du championnat. Récemment promu, il a occupé la direction provisoire pendant quelques heures après avoir conquis Mendizorroza. Supérieur à un Alavés qui cherche le cap offensif après avoir perdu une référence comme Lucas Pérez.

L’équipe de Javi Calleja accusée d’être en infériorité numérique, en raison du double avertissement de Rubén Duarte à la 66e minute, et a fini par céder à l’idylle de Fer Niño avec le stade Vitorian. Le même où il a fait ses débuts avec un but à Villarreal, il a répété avec Majorque dans un moment inoubliable.

Avec le numéro avec lequel son père jouait auparavant à Majorque, prêté à l’équipe de sa ville natale et décisif pour transformer Alavés en fond et permettre à l’équipe des Baléares d’égaler le nombre de victoires à l’extérieur de sa dernière campagne dans l’élite. Il a également servi à Luis García Plaza pour retirer une épine personnelle. Il n’avait jamais pu battre l’équipe de Vitoria dans sa carrière d’entraîneur.

A Grenade, la connexion café semblait faire rêver Nuevo Los Cármenes du premier triomphe. Une action pleine de classe de Carlos Bacca, avec une coupure au talon et une passe profonde dans l’espace, a permis à Luis Suárez de casser le jeu avec sa bonne définition.

Mais la Valence de José Bordalás a gagné un point de compétitivité. Il n’a jamais abandonné et a mérité le tirage au sort jusqu’à ce qu’il le signe à deux minutes de la fin. Seuls les arrêts d’Aarón l’en empêchaient auparavant, mais il ne pouvait rien faire face à la sécurité de Carlos Soler à nouveau depuis le point de penalty. Deux journées et deux buts qui rapportent des points (1-1). La fin de la crise cardiaque a laissé un but annulé du VAR à Grenade pour hors-jeu.

Les buts étaient absents au stade RCDE dans un match aussi haut en couleurs que manquant de justesse dans les derniers mètres. Jusqu’à 26 tirs entre l’Espanyol et Villarreal, seulement cinq au but. La bonne image à son retour en Première Division, mettant un frein au champion en titre de la Ligue Europa, n’a pas obtenu le prix de la victoire car les deux buts qu’il a marqués, Raúl de Tomás et Wu Lei, ont été annulés du VAR (0- 0).

La deuxième journée a levé le rideau vendredi dans le duel de deux équipes qui ne partent pas. Le Betis et Cadix ont signé un match nul à Benito Villamarín (1-1), avec tous deux un penalty d’Álvaro Negredo égalé par Juanmi, avec deux buts en deux jours, lors d’un match qui s’est joué contre Nabil Fekir.