Le ministre des Affaires étrangères de Cuba, Bruno Rodríguez, a qualifié ce samedi d’ignoble l’opération de communication politique déployée contre le pays des Caraïbes dans le but de renverser la Révolution.
A travers son compte Twitter officiel, le ministre des Affaires étrangères a assuré que cette campagne tente de capitaliser sur les dommages causés au territoire insulaire en raison de près de six décennies d’application du blocus imposé par les États-Unis.
La politique américaine d’étranglement économique, commercial et financier génère des carences et des souffrances pour les familles cubaines, a écrit Rodríguez sur cette plate-forme.
Dans ces conditions, « nous défendrons la patrie que nous avons rêvée et construite », a souligné le chef de la diplomatie.
Selon les autorités et les spécialistes, l’île est la cible d’une guerre non conventionnelle qui inclut l’utilisation de technologies sophistiquées et la diffusion de fausses nouvelles pour générer du désordre, de l’instabilité et des manifestations, comme celles qui ont eu lieu le 11 juillet.
Ce jour-là, plus de 100 000 personnes se sont rendues au Malecón de La Havane pour ratifier leur soutien au processus révolutionnaire et rejeter l’ingérence des États-Unis dans les affaires intérieures de la nation.
D’autres villes cubaines ont mené aujourd’hui des actes similaires, dans lesquels elles ont également exigé la fin du blocus de Washington, considéré comme le principal obstacle au développement du pays des Caraïbes.
Avec des informations de Prensa Latina
