Cheveux: justifier l'agression leur ouvre la voie à vous faire de même

Le président de l'Assemblée nationale constituante (ANC), Diosdado Cabello, a assuré ce vendredi que les nations qui soutiennent aujourd'hui, sous silence complice, les agressions du gouvernement des États-Unis (USA) contre le Venezuela, «ouvrent la voie à laissez-les faire de même avec eux à l'avenir.

"Ceux qui justifient aujourd'hui les agressions contre notre pays, soit en gardant le silence, en approuvant des rapports truqués ou en nous attaquant", a-t-il écrit sur son compte Twitter, non seulement ignorent le courage et les luttes du peuple, at-il souligné; ils leur ouvrent également la voie pour qu’ils fassent de même avec eux à l’avenir.

Mercredi, le Venezuela a rejeté la position du Conseil de sécurité des Nations Unies (ONU), qui a présenté un rapport d'une mission d'enquête internationale indépendante travaillant pour le Conseil des droits de l'homme, où le gouvernement du Venezuela est accusé d'avoir commis Crimes contre l'humanité.

Le ministre des Affaires étrangères du Venezuela, Jorge Arreaza, à travers son récit sur le réseau social Twiiter, le diplomate a déclaré que du gouvernement de Nicolás Maduro, un rapport en proie à des mensonges, «préparé à distance, sans aucune rigueur méthodologique, par un La mission fantôme dirigée contre le Venezuela et contrôlée par des gouvernements subordonnés à Washington, illustre la pratique perverse de faire de la politique avec les droits de l'homme et non la politique des droits de l'homme », a-t-il dénoncé. À son tour, il a souligné qu'ils essayaient de nuire à la relation avec le bureau du Haut Commissaire.

Il a rappelé que le Venezuela maintenait sa coopération avec le Conseil des droits de l'homme des Nations Unies et que, jusqu'à présent, des informations présentant un intérêt pour les deux ont été générées de manière coordonnée et constructive avec le Haut-Commissariat.

Il a ajouté que les progrès étaient notoires et cela a été reconnu par Michelle Bachelet lors de l'annonce du renouvellement des relations.

Il convient de noter que plusieurs pays ont applaudi ces actions, déclarant prétendument le pays «manquer de respect aux droits de l'homme, portant atteinte à l'état de droit».