Claudia Bahamon Elle a une carrière assez longue et reconnue dans les médias, étant l’une des personnalités publiques féminines les plus appréciées des Colombiens grâce à son talent, son charisme et son attitude. Le temps passe et elle continue de conserver la beauté qui l’a toujours caractérisée. En fait, beaucoup de ses admirateurs affirment que les années lui ont très bien fait, car selon eux, elle est actuellement beaucoup plus belle et radieuse.
Ces derniers jours, on a su qui seront les 10 finalistes de ‘Célébrité Masterchef’, émission de téléréalité qu’il diffuse depuis sa première version et qui est diffusée par RCN. La concurrence qui se resserre sera une arme pour la chaîne pour voir si elle augmente la cote en baisse depuis la fin d’Ana de Nadie.
Il y a quelques années, le présentateur a été interviewé par le personnage de « Diva Rebeca », interprété par Omar Vásquez. Elle y a donné plusieurs détails sur ses débuts professionnels, sa carrière de mannequin, son mariage, ses enfants, entre autres détails. Au milieu de sa conversation, l’intervieweur l’a interrogé sur la situation terrible et inconfortable à laquelle il a dû faire face dans sa jeunesse alors qu’il était étudiant en architecture à la célèbre Université Javeriana de Bogotá.
Bahamón a été victime de harcèlement de la part d’un prêtre qui, en plus de remplir ses fonctions ecclésiastiques, était chargé d’enseigner une série de cours liés à la tendance religieuse de l’institution. « C’était un prêtre qui était mon professeur de christologie, avec son propre nom, appelé Omar Salguero. Je dois préciser que c’était re churro… re pilo. « Il s’est lié d’amitié avec toutes les vieilles femmes, mais il s’est avéré être un homme très harcelant. »a-t-il exprimé.
Elle a déclaré que lorsqu’elle a commencé à être l’une de ses victimes, elle n’a pas hésité à signaler le problème et a profité de l’espace dont elle disposait à l’époque où elle travaillait à La FM pour élever la voix, mais malheureusement elle n’a jamais reçu le attention nécessaire.
« On ne m’a jamais cru à l’université »La présentatrice a ajouté qu’on lui demandait toujours des preuves démontrant qu’elle était effectivement harcelée par le prêtre, mais qu’à ce moment-là, elle n’avait pas de téléphone portable, WhatsApp n’existait pas et il n’y avait pas non plus suffisamment d’outils technologiques pour permettre lui d’enregistrer ou de capturer toute situation particulière qui pourrait le compromettre. .