Coro y La Vela : Patrimoine culturel de l’humanité depuis 28 ans

Les toits de tuiles rouges, les fenêtres longues et larges, les murs de boue sont des éléments architecturaux qui ont qualifié la ville de Coro et La Vela dans l’État de Falcón comme patrimoine culturel de l’humanité.

Distinction accordée par l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco) il y a 28 ans à Cartagena de Indias, Colombie, selon les critères IV et V de la convention qui régit le patrimoine mondial.

Il y établit que Coro et La Vela ont un héritage qui combine les styles hollandais et espagnol avec des techniques provenant des Caquetíos indigènes, originaires de la région.

La polygonale avec des rues, toujours pavées, comprend 92 bâtiments qui sont également conservés pour leur valeur historique, il convient de mentionner que cette ville est la plus ancienne du Venezuela avec 494 ans.

Le gouvernement de l’État de Falcón a entrepris un plan de récupération où ils ont réussi à respecter à ce jour, neuf des 11 mesures correctives, en attendant le plus compliqué, un plan de drainage.

Cette année, le gouvernement régional, en collaboration avec la mission Venezuela Bella, a réalisé d’importants travaux de récupération dans le centre historique qui ont été rouverts le 3 mai pour commémorer le bicentenaire de la bataille de la province de Coro.

Compte tenu de l’arrivée dans une autre année de cette déclaration importante non seulement pour l’État, mais pour le pays, il est important d’exhorter à la préservation conjointe entre le gouvernement, la société civile et les citoyens ayant un sentiment d’appartenance, d’identité et de valeur pour ce joyau architectural qui situe au Venezuela dans un siège d’honneur.

Activités allusives

Pour ce vendredi 10 décembre, le Conseil législatif de l’État de Falcón tiendra une session spéciale et conjointe avec les conseils municipaux de Miranda, Colina et les parlementaires de la communauté nationale.

Ceci dans le but de mettre en lumière le sens du Patrimoine, c’est pourquoi on estime qu’il rassemble des chroniqueurs, écrivains, sociologues et autres personnalités liées à la culture.

L’activité aura lieu dans la zone coloniale à quatre heures de l’après-midi.