Des procureurs nommés pour enquêter sur le suicide d’un étudiant en raison de harcèlement

Le ministère public (MP) a nommé les procureurs nationaux 66 et 92 pour enquêter sur les faits d’incitation présumée au suicide à la suite de l’intimidation d’un étudiant du Colegio Caracas.

L’information a été rendue publique par le procureur général de la République, Tarek William Saab, qui à travers son compte sur le réseau social Twitter a indiqué que le procureurs désignés ils sont rattachés à la Direction de la protection intégrale de la famille.

« #NOW A nommé les procureurs nationaux 66 et 92 affectés à la Direction de la protection intégrale de la famille pour #enquêter sur les actes d’induction présumée au suicide à la suite de harcèlement scolaire dans lesquels la vie d’un élève de l’école de Caracas a été affectée #Justicia », posté sur Twitter.

Miguel Alejandro Silveira, un étudiant de 17 ans, est mort écrasé à la station Palo Verde du métro de Caracas, après s’être jeté dans les rails du métro de la capitale.

À travers les réseaux sociaux, ils ont affirmé que l’adolescent avait été victime d’intimidation et d’abus à l’unité éducative de l’école de Caracas, le campus où il a étudié.

Ils enquêtent sur la mort d’un élève de l’école Humboldt

De même, le procureur général a également nommé ce mardi le 109e procureur de la région métropolitaine de Caracas (AMC) pour être chargé d’enquêter sur les événements qui ont causé la mort d’un élève mineur à l’école Humboldt de Caracas.

Dans un message posté sur son compte sur le réseau social Twitter, Saab a précisé que le garçon était décédé « des suites d’un traumatisme crânien » après être tombé d’un toit dans un prétendu « bac à sable pour jeux ».

« #À PRÉSENT Nommé 109e bureau du procureur AMC pour enquêter sur les faits où #décédé un garçon de l’école Humboldt en raison d’un traumatisme crânien, après être tombé d’un toit dans un supposé « bac à sable pour les jeux », a-t-il déclaré sur Twitter.

Après avoir pris connaissance de l’événement, les utilisateurs des réseaux sociaux se sont exprimés après coup et ont demandé instamment que les responsabilités de l’affaire soient déterminées.