Ils présentent de nouvelles preuves de la stratégie de communication contre le Venezuela

Le plus haut représentant du ministère public, Tarek William Saab a rapporté ce jeudi que son bureau avait adressé un rapport au parquet de la Cour pénale internationale pour étoffer les preuves enregistrées le 30 avril, concernant la stratégie de communication entreprise par les réseaux sociaux. , notamment Twitter, qui certifie l’existence d’une communauté «largement étendue et très active» pour générer des tendances de réseau, à travers l’utilisation de mécanismes frauduleux comme l’utilisation de bots.

Dans une publication qu’il a faite sur son compte Twitter officiel @TareckWilliamSaab, le procureur général de la République a écrit: «# AUJOURD’HUI, @MinpublicoVE envoie un #Quatrième document à la CPI @IntlCrimCourt qui fait partie de la deuxième extension livrée à ladite instance le # 30avr: dont le but est de prouver l’utilisation FRAUDULEUSE du #RRSS à travers des Bots qui lancent #Millions de faux messages sur #VENEZUELA ».

Dans un autre tweet, Saab a souligné que le but de cette tactique de communication «est de générer de fausses # tendances défavorables à l’État vénézuélien et aux personnalités désignées comme` `présumées responsables  » des plaintes déposées devant la CPI: En ce sens, les engagements en #DDHH le dicte le SYSTÈME DE JUSTICE et non les #Bots payés par des mercenaires ».

Il a ensuite souligné que « avec ce nouveau rapport, nous avertissons que l’utilisation frauduleuse des réseaux sociaux est faite pour # influencer indécemment le parquet de la CPI, qui doit être empêché de cette stratégie fausse et déshonorante ».

En annexe de cette publication se trouve le rapport qui a été remis au Bureau du Procureur de la Cour pénale internationale, qui précise qu’une analyse rigoureuse et détaillée de 70 millions de tweets montre comment les réseaux sociaux ont été exploités « pour générer une opinion publique déterminée, contraire à la République bolivarienne du Venezuela ».

«Avec ce rapport, nous voulons avertir que cet incident se déroule dans le but précis d’influencer le bureau du procureur de la CPI, qui doit être empêché contre cette stratégie qui recoupe tout le matériel fourni et sur lequel ledit organe s’appuie lors de l’examen. préliminaire »- a finalisé le document.