« Votre véritable richesse ne pourra jamais être gardée dans votre poche, et encore moins dans une banque, elle n’ira que dans votre cerveau »… Joseph Mckadew.
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Isidro M. O’Súllivan B. de Hermosillo, demande : « Est-il vrai que le lanceur des Yankees, Domingo Germán, applique sur ses mains des substances interdites que les arbitres ne peuvent pas détecter ? »
Amigo Chidro : Domingo, dominicain de San Pedro de Macorís, est, à 30 ans et après six saisons d’expérience, l’un des meilleurs lanceurs droitiers des Majors.
Si bon que l’arbitre James Hoye était déterminé à trouver quelque chose sur ses mains après la troisième manche, lorsque le garçon avait éliminé d’affilée les neuf Twins qu’il avait affrontés.
Hoye était agacé, car après avoir examiné ses mains trois fois, il n’a rien trouvé, et il lui a donc ordonné de les laver.
Conclusion : Soit Hoye veut faire preuve d’excès d’autorité là où rien ne lui est caché, soit Germán, en plus d’être un formidable lanceur, est aussi un prestidigitateur et anti-arbitre distingué.
Le célèbre arbitre professionnel de Caracas, Juan Loaiza, déclare : « Pour le jeu tout nu, proposé par le lecteur de Mazatlán, Abelio Negrín, j’offre mes services d’arbitre totalement gratuitement, et je paierais même mon billet pour entrer dans le stade ce jour-là. »
Néstor Griswold, de Madrid, demande : « Luis Aparicio a-t-il déjà été capitaine de son équipe dans les ligues majeures ?
Amigo Nes : Lorsque Luis est arrivé dans les Majors, en 1956, il était bien sûr une recrue et le manager des White Sox, Marty Marion, a été remplacé l’année suivante par Al López, qui a petit à petit permis à l’homme de Zulia de gérer l’avant-champ, sans lui donner le titre de capitaine.
En 1963, Aparicio rejoint les Orioles, et l’année suivante, Hank Bauer est nommé manager de cette équipe. Lors de la conférence de presse à son arrivée à Baltimore, il a déclaré :
« Je pense que je serai obligé de partager mes honoraires avec Luisito, car je l’ai nommé capitaine de l’équipe, avec pour instructions de gérer pleinement le champ intérieur. »
A Boston, en 1971, Luis retrouva un manager qui avait été un très bon arrêt-court, Eddie Kasko, qui déclara à la presse en 1972 :
« J’aurais été très heureux d’avoir les compétences et l’instinct d’Aparicio pour le baseball. Je lui ai dit de prendre en charge la gestion du champ intérieur, car il peut le faire bien mieux que moi.
Merci à la vie qui m’a tant donné, même à un lecteur comme toi.