Le gouvernement bolivien prévient que la droite entend déstabiliser le pays

A travers un communiqué, le ministère bolivien des Relations extérieures a alerté la communauté internationale sur le développement d’un « processus de déstabilisation entrepris par certains groupes et secteurs » vers la fin de l’aile droite du pays, pour répéter la scène du coup d’Etat en 2019 .

Ils soulignent qu’il s’agit d’une campagne délibérée de désinformation, de mensonges et de fausses déclarations promue par les partis politiques d’opposition ainsi que les comités civiques départementaux et les plates-formes connexes, contre la soi-disant loi 1386, abrogée hier par le président Luis Arce.

Ce dimanche, ils ont poursuivi les actions de déstabilisation, principalement à Santa Cruz. Les comités civiques de Santa Cruz en sont des instances clés en novembre 2019, avec la promotion du désormais gouverneur de Santa Cruz Luis Fernando Camacho.

La ministre de la Présidence, María Nela Prada, a indiqué ce dimanche que malgré l’annonce samedi, de l’abrogation du projet de loi 1386, sur le blanchiment des profits illicites, le mouvement d’opposition, regroupé dans les soi-disant « comités civiques », insiste sur son parcours déstabilisant.

Voici le texte intégral :

L’État plurinational de Bolivie dénonce devant la communauté internationale que les partis politiques d’opposition, ainsi que les comités civiques départementaux et les plates-formes connexes, promeuvent délibérément une campagne de désinformation, de mensonges et de déformation du contenu de la loi 1386, de la « Stratégie nationale de lutte contre Légitimation des profits illicites et financement du terrorisme », publié le 16 août 2021, afin de répéter le scénario du coup d’État de 2019.

La loi 1386 est le résultat de l’effort du gouvernement de l’État plurinational de Bolivie, dirigé par le président Luis Arce Catacora, pour se conformer aux engagements internationaux assumés par la Bolivie, répond strictement aux directives du Groupe d’action financière internationale (GAFI) et fait partie d’une série de règlements de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme.

Nous dénonçons à la communauté internationale que ces secteurs et groupes promeuvent des actions violentes motivées par la haine et le racisme, qui ont entraîné de multiples attaques contre la population. L’installation de barrages routiers et l’intimidation des citoyens qui tentent d’exercer leurs activités quotidiennes constituent une violation flagrante des droits à la libre circulation, à l’accès à l’éducation, au travail et à la santé, encore plus en pleine crise sanitaire mondiale, même allant jusqu’à inciter publiquement à « renverser le gouvernement », qui a été élu démocratiquement avec un large soutien de la population bolivienne.

Le gouvernement de l’État plurinational de Bolivie exhorte la communauté internationale, les organisations internationales et les défenseurs des droits humains à rejeter tout type d’action violente qui menace la démocratie, l’État de droit et le gouvernement constitutionnel.

Le gouvernement prévient que la droite entend déstabiliser la Bolivie

Caracas, 14 novembre AVN.- Par une déclaration, le ministère bolivien des Affaires étrangères a alerté la communauté internationale sur le développement d’un « processus de déstabilisation entrepris par certains groupes et secteurs » vers la fin du pays, pour répéter le scénario de la coup d’État en 2019.

Ils soulignent qu’il s’agit d’une campagne délibérée de désinformation, de mensonges et de fausses déclarations promue par les partis politiques d’opposition ainsi que les comités civiques départementaux et les plates-formes connexes, contre la soi-disant loi 1386, abrogée hier par le président Luis Arce.

Ce dimanche, ils ont poursuivi les actions de déstabilisation, principalement à Santa Cruz. Les comités civiques de Santa Cruz en sont des instances clés en novembre 2019, avec la promotion du désormais gouverneur de Santa Cruz Luis Fernando Camacho.

Voici le texte intégral :

L’État plurinational de Bolivie dénonce devant la communauté internationale que les partis politiques d’opposition, ainsi que les comités civiques départementaux et les plates-formes connexes, promeuvent délibérément une campagne de désinformation, de mensonges et de déformation du contenu de la loi 1386, de la « Stratégie nationale de lutte contre Légitimation des profits illicites et financement du terrorisme », publié le 16 août 2021, afin de répéter le scénario du coup d’État de 2019.

La loi 1386 est le résultat de l’effort du gouvernement de l’État plurinational de Bolivie, dirigé par le président Luis Arce Catacora, pour se conformer aux engagements internationaux assumés par la Bolivie, répond strictement aux directives du Groupe d’action financière internationale (GAFI) et fait partie d’une série de règlements de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme.

Nous dénonçons à la communauté internationale que ces secteurs et groupes promeuvent des actions violentes motivées par la haine et le racisme, qui ont entraîné de multiples attaques contre la population. L’installation de barrages routiers et l’intimidation des citoyens qui tentent d’exercer leurs activités quotidiennes constituent une violation flagrante des droits à la libre circulation, à l’accès à l’éducation, au travail et à la santé, encore plus en pleine crise sanitaire mondiale, même allant jusqu’à inciter publiquement à « renverser le gouvernement », qui a été élu démocratiquement avec un large soutien de la population bolivienne.

Le gouvernement de l’État plurinational de Bolivie exhorte la communauté internationale, les organisations internationales et les défenseurs des droits humains à rejeter tout type d’action violente qui menace la démocratie, l’État de droit et le gouvernement constitutionnel.