La vice-présidente exécutive de la République, Delcy Rodríguez, a inauguré à Caracas le diplôme sur les mesures coercitives qui vise à étudier les mécanismes créés par le peuple vénézuélien pour surmonter le blocus économique.
Accompagnée du vice-ministre de la Politique antiblocage, Wiliam Castillo, et du recteur de l’Université bolivarienne du Venezuela, Sandra Oblitas, la vice-présidente Rodríguez a souligné : « Lorsque nous pensons à la création de l’Observatoire antiblocage vénézuélien, nous recherchons cela par attente d’étude, d’aller au fond et à la connaissance d’un blocus que la République n’avait jamais connu.
Il a prédit que de véritables experts en la matière sortiraient de ce cours, de sorte que « de cette manière, ils défendent la nation bolivarienne, en plus d’avoir des moyens pour que le peuple vénézuélien sorte victorieux ».
« Nous ne pouvons pas lutter contre les sanctions illégales sans les connaître et pour cela ce sous-ministère (Politique antiblocage) est créé, qui s’inscrit dans la lignée de l’Observatoire du Centre international pour l’investissement productif », a précisé Rodríguez.
Il a rappelé qu’avec la loi anti-blocus, l’Observatoire a été créé pour étudier les mesures coercitives unilatérales, chacune des questions liées aux impositions faites par le Congrès des États-Unis et les sept décrets exécutifs, qui « est l’endroit où l’ensemble du cadre juridique qui est elle s’est appliquée au Venezuela, et je dirais plutôt illégale », a-t-il condamné.
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