En ce moment, beaucoup de choses s'entremêlent dans l'esprit du Vénézuélien. Nous vivons des réalités inquiétantes car, en plus de la pandémie Covid-19 avec ses épidémies dangereuses et la situation économique de la famille chaque jour plus orageuse et insoutenable, l'assaut de Trump s'ajoute, profitant de la pandémie, avec son plan de boycott des élections de la 6 décembre et durcir le blocus financier pour renverser Maduro et la révolution bolivarienne avant les élections présidentielles américaines.
Dans la même orientation de la Maison Blanche, nous voyons dans cette période pré-électorale l'ingérence d'Iván Duque et de son gouvernement, ainsi que du conseiller américain à la sécurité nationale, Robert O'Brien, et du chef du Southern Command, Craig Faller, avec leurs forces stationnées en territoire frontalier. En d'autres termes, les menaces et les agressions économiques nous montent, sans cacher le pouvoir de définition à Washington, avec l'idée d'utiliser la force et d'attaquer le droit de vote des Vénézuéliens, tout en ordonnant au secteur d'opposition anti-patrie appel à l’abstention.
Ils ont décidé il y a longtemps de ne pas accepter les élections, mais de faire la guerre. Mais pour les Vénézuéliens, l'important est de parvenir à la paix et pour cette raison, il n'y a pas de temps pour se reposer ou faire une sieste. L'ennemi vient semer le chaos et nous ne pouvons pas permettre que cela se produise parce que cette option signifie la possibilité d'une invasion par l'excuse de la "responsabilité de protéger" qui n'est rien de plus qu'un piège, à la manière d'une "guerre juste". qu'ils se sont greffés une fois sur l'ONU sous le prétexte – comme on l'a dit alors – d'une «intervention humanitaire» au Kosovo. C'est une théorie de la protection humanitaire qui a été dénaturée par l'empire dès le premier instant. On pensait qu'il pouvait servir contre le génocide, les crimes de guerre, la destruction ethnique et les crimes contre l'humanité. Et ce n'était pas le cas. Il n'a servi qu'à d'autres fins, telles que l'expansion géostratégique, la saisie de ressources naturelles ou l'intervention militaire pour asservir les peuples.
C'est pourquoi il est important pour les Vénézuéliens de garder à l'esprit, à ce stade historique, qu'il n'y a pas le temps même pour une sieste. Ni démission à aucun ennemi ou envahisseur. Soyons donc préparés et en alerte contre toute attaque ou invasion, sous la forme sous laquelle elle se produit, avec ou sans déguisement de «protection».