Les sondages électoraux c’est comme la religion, chacun doit avoir le sien

Journal, hier c’était le jour de la contre-attaque, je veux dire contre-attaque, je veux dire contre-attaque. Wow, comment écrivez-vous cela? Eh bien, c’était le jour de la vengeance. C’est alors que les chiffres de Paraná Pesquisas sont sortis sur les élections à São Paulo. Et les gars ont dit que j’avais 39,7% et l’autre, seulement 36,4%.

Ces jours-ci, Data Foice avait dit qu’à São Paulo, j’avais 30% et That There, 43%. Soit 16% de différence.

Pouvez-vous faire confiance? Ça ne donne pas. Mais il ne s’agit pas de faire confiance, c’est de croire. Et ma classe croit ce que je veux. Ils se fichent même que Murilo Hidalgo, propriétaire de Paraná Pesquisas, ait pris une photo avec moi et ait été dénoncé pour blanchiment d’argent et association de malfaiteurs.

Et ils prétendent qu’il est normal que la société de recherche ait signé un contrat d’une valeur de 1,6 million de reais avec le gouvernement en mars.

Pour moi, en termes d’honnêteté, les sondages électoraux au Paraná sont aussi fiables que Jovem Pan, talkei ?

Ce n’est pas parce qu’elle a dit qu’Aécio allait battre Dilma de 8% qu’elle n’est pas bonne. Ce n’est pas parce qu’elle a quitté l’Abep, l’Association brésilienne des entreprises de recherche, qu’elle est mauvaise.

La recherche est comme une religion, chacun doit avoir la sienne et croire en ce qu’il veut.

Mais la gauche n’accepte pas la liberté de la recherche. À tel point qu’il s’est moqué de Paraná, disant qu’elle allait changer son nom en Ratanabá Pesquisas, Terra Plana Pesquisas ou Perna Curta Pesquisas. Quelle infamie…

Quoi qu’il en soit, Journal, l’important est que quelqu’un dise que je vais gagner. Alors, plus tard, on peut dire qu’il y a eu fraude, qu’il a fallu imprimer et vérifier le vote, qu’il y a une salle secrète où on change les votes, ce genre de choses.

Ce billet est vrai. Et ce sondage aussi !

Toréador

#agenda de poche