TSJ système de garde étendu pendant la quarantaine

La Cour suprême de justice (TSJ) a approuvé ce mardi la résolution n ° 005-2020 en séance plénière, prorogeant de 30 jours le délai fixé par la résolution n ° 004-2020, par conséquent, aucun tribunal ne Du 12 juillet au 12 août 2020, les deux dates incluses, dans le cadre de la pandémie Covid-19.

La Haute Cour indique que pendant la période susmentionnée, les affaires resteront en suspens et les délais de procédure ne fonctionneront pas, ce qui n'empêche pas que des mesures urgentes soient prises pour garantir les droits de l'une des parties, conformément à la loi. En outre, les tribunaux prendront les précautions nécessaires pour que la fonction publique d'administration de la justice ne soit pas suspendue. A cet effet, leur autorisation sera acceptée pour procéder à l'envoi des affaires urgentes.

En matière de protection constitutionnelle, indique la résolution de la Chambre plénière, elles seront considérées comme activées tous les jours de la période mentionnée. En outre, les juges, même temporaires, sont tenus de traiter et de condamner les procédures respectives.

Les chambres constitutionnelles et électorales du TSJ resteront en service pendant l'état d'urgence. De même, les magistrats de la Chambre plénière, pendant la période d’alarme constitutionnelle, maintiendront le quorum nécessaire pour délibérer conformément à ce qui est réglementé par les articles 10 et 11 de la loi organique de la Cour suprême de justice.

En ce qui concerne les juridictions compétentes en matière pénale, la continuité du service public d'administration de la justice au niveau national sera maintenue, conformément aux dispositions de l'article 156 du Code organique de procédure pénale, uniquement pour les affaires urgentes.

Les juges, les juges, les fonctionnaires et les fonctionnaires de la magistrature sont également instamment priés de prendre des mesures sanitaires dans l'exécution de leurs activités, rendant obligatoire l'utilisation de gants et de masques dans tous les bureaux judiciaires du pays.

La résolution souligne, entre autres, qu'il existe encore des circonstances sociales qui mettent gravement en danger la santé et la sécurité publiques des citoyens de la République bolivarienne du Venezuela en raison de la pandémie de COVID-19, et en harmonie avec les politiques adoptées par l'Exécutif national visant à la mise en œuvre de mesures urgentes, efficaces et nécessaires pour protéger et préserver la santé de la population vénézuélienne.

La rapidité et le bon fonctionnement de l'administration de la justice sont garantis par l'État vénézuélien pendant 365 jours de l'année, avec l'organisation que l'ordre juridique établit en garantie des droits des citoyens et aussi de ceux qui correspondent au personnel judiciaire, indique le document, décrit un communiqué de presse du TSJ.