Dans le cadre de la célébration de la Journée des enseignants, une vidéo a commencé à attirer l’attention de milliers d’utilisateurs de Twitter, et c’est là que vous pouvez voir un enseignant enlevant une partie de ses vêtements, tout en dansant au rythme d’une chanson reggaeton devant ses élèves.
La vidéo a été partagée le 16 mai sur le réseau social susmentionné, et comme il a été annoncé, l’événement a eu lieu à l’établissement d’enseignement San Peruchito, à Antioquia.
« Je veux dénoncer ce professeur qui profite toujours des événements pour faire ce type de danse devant des mineurs, enlever des vêtements qui n’ont rien à voir avec des enfants », peut-on lire dans la publication.
Sur les images, on peut voir que les élèves et l’enseignant faisaient la fête, puisque la salle de classe est décorée de ballons et que le reggaeton se fait entendre en arrière-plan, tandis que les garçons et les filles s’amusent, l’enseignant profite du bon moment pour célébrer et décide d’enlever sa chemise blanche.
Ne suffisant pas, le professeur prend la main d’une femme adulte qui se trouvait dans la salle de classe et alors qu’ils se mettent à danser assez près, elle soulève son chemisier, révélant ses sous-vêtements.
La vidéo compte déjà des milliers de reproductions et les avis des internautes sont partagés, car si Beaucoup reprochent les actions de l’enseignant, le qualifiant d’immoralD’autres disent qu’il n’y a rien de mal à s’amuser ainsi avec ses élèves.
Photo : Twitter
D’autre part, en réponse à ce qui s’est passé, le secrétaire à l’éducation d’Antioquia a révélé que les actions de l’enseignant sont le résultat de un défi imposé par les parents présents à la fête.
Comme ils l’expliquent, ils étaient prêts à récompenser la personne qui a fait la meilleure danse et le professeur a participé. Compte tenu de cela, les participants ont approuvé sa conduite et ils ont assuré que l’enseignant n’a jamais commis d’actes qui violent les mineurs.
Cependant, Le comité de coexistence scolaire mène une enquête pour s’assurer que les droits des mineurs n’ont pas été violés.