« Child Antisocial Tendency and the Experience of Father Loss » présente des études de cas sur des enfants qui ont vécu la perte de leur père
Par Brenda Marchiori
Edité par Editora Appris, avec 332 pages, le livre Tendance antisociale des enfants et expérience de la perte d’un père est le lancement récent du professeur Valéria Barbieri, du Département de psychologie de la Faculté de philosophie, sciences et lettres de Ribeirão Preto (FFCLRP) à l’USP, et du psychologue Gabriel Aparecido Gonçalves dos Santos, du Tribunal de justice de São Paulo et maître en psychologie par la FFCLRP.
A propos de la finalité de l’ouvrage, les auteurs précisent que les incivilités, collectives ou individuelles, « ont toujours suscité une grande curiosité dans divers domaines de la connaissance humaine ». Cette curiosité, anticipent-ils, imprègne les productions artistiques, médiatiques et de divertissement, comme les films et les séries. Pour autant, « le nombre d’ouvrages et d’espaces de discussion qui s’attachent à une compréhension plus profonde des facteurs de genèse et d’entretien de ces comportements d’opposition est réduit », préviennent les psychologues.
Dans ce contexte, le livre présente, « sur la base des présupposés psychanalytiques de Winnicott concernant la tendance antisociale de l’enfant et l’utilisation de techniques projectives », des études de cas sur des familles dans lesquelles les enfants ont vécu la perte de leur père et ont commencé à présenter des comportements antisociaux.
Le but des débats psychanalytiques et des dialogues intersubjectifs contenus dans le livre, selon les auteurs, est destiné à « permettre de nouvelles perspectives sur le sujet, ainsi qu’à contribuer à un dialogue constructif concernant l’implication de l’offrande, tout au long du développement de l’enfant, la confiance, affection et stabilité dans le milieu familial, quelle que soit sa configuration ».
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