Une femme a attaché sa fille à un lit pour la maltraiter : cela s’est produit pendant des années

Un fait aberrant a été révélé dans les dernières heures. La FYoProcureur général de la Nation a annoncé avoir obtenu une mesure d’assurance dans une prison contre une femme enquêtée pour les crimes de accès charnel abusif avec un mineur de moins de 14 ans et proxénétisme aggravé avec un mineur.

Selon l’enquête menée par un procureur du Centre de prise en charge intégrale des victimes d’abus sexuels (Caivas), Entre 2017 et 2021, la prévenue aurait attaché sa fille de 8 ans pieds et poings à un lit alors qu’elle subissait des abus sexuels par des hommes adultes qui ont payé pour l’acte aberrant.

Les chercheurs ont déterminé que ces pratiques illégales, apparemment répétées jusqu’à 3 fois par jour et que le mineur ils lui ont bandé les yeux de sorte qu’elle ne pouvait pas voir ses agresseurs, en plus d’être ligotée, elle n’avait pas la moindre possibilité de se défendre des violations auxquelles sa propre mère l’exposait.

Les autorités en charge de l’affaire ont montré qu’en outre, quand la victime a eu 10 ans, elle est tombée enceinte, un fait produit des violations constantes. A cet égard, on suppose que sa mère lui a donné des pilules abortives pour interrompre la grossesse.

Au cours des travaux de la police judiciaire, il a également été établi qu’à plusieurs reprises le partenaire sentimental de l’accusé aurait accepté charnellement et de force à la fille avec le consentement du parent. L’homme a également été capturé et poursuivi. La victime a été placée sous la garde d’un membre de sa famille.

D’autres poursuivis

Dans la même période, ils ont été poursuivis 2 hommes ont fait l’objet d’une enquête pour coups et accès violents à leurs partenaires sentimentaux. Dans une autre décision judiciaire, une mesure de saisie intra-muros a également été obtenue à l’encontre d’un chauffeur de taxi de la commune de Barbosa (Antioquia) qui aurait drogué un usager pour lui accéder dans un hôtel de cette commune.

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Entre le 20 et le 25 février, on a également signalé 3 condamnations, dont une contre un entraîneur de football de 41 ansqui a contacté un enfant de moins de 12 ans via les réseaux sociaux pour l’inviter à avoir des relations sexuelles en échange d’argent.

En apprenant ce qui s’était passé, la famille de la victime a porté plainte auprès des autorités et après un procès, l’homme a été condamné à 10 ans de prison pour le délit d’utilisation ou de facilitation des moyens de communication proposer des activités sexuelles avec des mineurs de moins de 18 ans. La défense de l’entraîneur a fait appel de la décision.