Vingt ans, ce n’est rien

C’est l’intervalle que nous avons vu les efforts inutiles que certains exécutent en essayant de donner un coup d’État unique et final et final qui met fin au gouvernement du Venezuela.

Il n’y a eu aucune forme de politique insensée qu’ils n’aient essayée. Depuis la grève générale, paralysie de l’entreprise qui nourrit 30 millions de personnes. Tentatives d’attaques chirurgicales contre des industries clés importantes. Meurtres de drones.

Aide humanitaire déguisée en invasions, assaisonnée de prostituées de coca et de cucuteña. Invasions enfantines et dérangées aux noms bibliques. Fureur des présidents des États-Unis qui sont liés aux menaces peu contrôlées du second rang de la vieille noblesse et des barons industriels de la vieille et langoureuse Europe. Mieux, arrêtons de compter les centaines de tentatives infructueuses qui ne mènent qu’à la frustration et à la moquerie internationale pour la folie répétée de leur gouvernement de fumée et de corruption en exil, qu’ils maintiennent bêtement.

Maintenant, au vu de la piètre performance que notre opposition a construite en vingt ans, c’est comme mettre à jour la phrase du prince Hamlet. « J’aimerais que mon corps se désintègre en larmes. » Lorsqu’on apprécie l’état de sa «politique», très puante pour les directeurs de tribune qui veulent la diriger depuis les grands hôtels et manoirs de Madrid, Bogota et New York; pendant ce temps, leur vie végétative indolente et improductive, gaspille les 750 millions de dollars qui leur ont été donnés aux États-Unis, ainsi que les autres actifs qui nous ont été volés par leurs avocats et les banques associées à l’étranger (Portugal, Angleterre et États-Unis). Tout en léchant leurs plaies en constatant que les fameuses sanctions qu’ils ont demandées, et au nombre de plus de 400 d’entre elles, nous en souffrons, elles n’ont eu que pour effet qu’un nouveau pouvoir électoral est déjà organisé et des élections sont annoncées.

Toute cette histoire est un film paradoxal et triste que les émissaires nordiques toujours disposés doivent voir, qui viennent de revenir offrir à nouveau la bonté de leur méthode de négociation norvégienne. Cela, on le sait, n’a jamais compris comment négocier avec un homologue qui a, comme le serpent amphisbaean, une tête à chaque extrémité de son corps, une en Europe, une autre à Washington, et ici, paradoxalement, la fin de son corps. système digestif. En d’autres termes, le rêve d’une nouvelle table de négociation est annoncé – bienvenue! Dans l’ensemble, comme l’a dit le pirate Blackbeard: « Un bon rêve vaut mieux qu’une réalité de mauvaise qualité. »