L’article traite de l’importance de la vaccination des étudiants en médecine – Jornal da USP

LESActuellement, de nombreux étudiants en médecine sont sur le terrain, aidant les professeurs et le personnel infirmier dans la prise en charge des personnes infectées par le covid-19. Cependant, si les élèves sont sur le terrain, il est essentiel qu’ils soient vaccinés. Mais ce n’est pas ce qui se passe dans plusieurs villes brésiliennes. Ce sujet est abordé dans l’article Vaccination des étudiants en médecine et rôle des établissements d’enseignement supérieur dans la prévention primaire, Publié dans Journal de médecine.

Selon les auteurs, il est important de disposer de données relatives à la « connaissance des étudiants en médecine sur la vaccination prophylactique » et comment cette question est perçue par les établissements d’enseignement supérieur (EES), « qui délivrent des diplômes de médecine, sur la vaccination des étudiants ».

Les auteurs expliquer que les établissements d’enseignement supérieur du domaine de la santé sont chargés de respecter l’engagement de promouvoir des projets et du contenu visant à la vaccination et au confinement des infections des étudiants en médecine. Ils citent que, selon certaines enquêtes, les résultats favorables et bénéfiques sont les produits de l’infrastructure hospitalière, la réduction des maladies infectieuses et « vaccination prophylactique obligatoire« , en particulier pour « les personnes qui ont des contacts réguliers avec les milieux hospitaliers”. Selon l’article, la situation est aggravée par le fait que les hôpitaux et les collèges ne se préoccupent pas de la vaccination des étudiants au début de leurs stages.

Au Brésil, le Programme National de Vaccination (PNI) est responsable des vaccinations et de l’endiguement de nombreuses maladies endémiques, mais actuellement, avec le mouvement anti-vaccin proliférant dans les médias, des maladies telles que la fièvre jaune, la tuberculose et la rougeole ne sont pas correctement contrôlés plus complets et plus efficaces, ne sont pas pris au sérieux et la négligence prévaut parmi la population. Oes auteurs soulignent l’importance de la preuve des vaccins, qui et quand ils sont requis, proposant également d’analyser les connaissances des étudiants sur la vaccination prophylactique et la santé au travail.

D’après les études réalisées, les étudiants en médecine n’ont pas l’habitude de s’en tenir aux soi-disant « calendrier de vaccination», mais il faut aussi rappeler que beaucoup ne veulent pas se faire vacciner, ce qui se traduit par «manque de vaccination contre des maladies telles que l’hépatite B et le tétanos”. L’article attire l’attention sur le manque d’engagement réel des institutions médicales pour éradiquer les maladies qui circulent depuis un certain temps dans le pays, réagir et mieux se protéger contre l’ennemi générateur de la pandémie actuelle. Cependant, si, d’une part, les étudiants souhaitent se faire vacciner contre le covid-19, d’autre part, ils sont confrontés à des négligences de la part des institutions en matière de vaccination. Le rôle des institutions est d’exiger « le carnet de vaccination», principalement pour les étudiants en médecine, mais il semble que cela n’ait pas été fait comme prévu.

Aujourd’hui, dans ce véritable effondrement de la santé mondiale, de nombreux étudiants en médecine sont dans les hôpitaux et les services pour constituer un cadre de professionnels confrontés au covid-19. L’aide apportée par les étudiants est également due aux relations inégales entre médecins, internes et infirmières et à l’énorme quantité de la population qui a contracté le virus. Si ces professionnels ne sont pas vaccinés, ils seront des vecteurs potentiels d’autres maladies infectieuses et contagieuses, et pas seulement du covid-19. Et l’encouragement des pratiques de vaccination de masse par les États est une stratégie fondamentale dans la prévention des maladies.