Le ballet classique a brillé avec Siempre Nebrada

L’élégance, la subtilité, la fluidité et la beauté du ballet ont de nouveau envahi la salle Ríos Reyna du Théâtre Teresa Carreño, avec la première de Siempre Nebrada.

« Merveilleux », « Toujours magistral », « Apothéose », « Une fierté » et « Ça vaut le coup », étaient quelques-uns des adjectifs utilisés par le public satisfait à la sortie de la première du spectacle, qui a présenté ses deux premières représentations le week-end dernier. .. semaine, et qu’il rentrera en salle samedi 25 juin et dimanche 26 juin prochains, les deux jours à 5h00 de l’après-midi.

Le spectacle rend hommage au maître danseur et chorégraphe vénézuélien Vicente Nebrada, icône du ballet néoclassique au Venezuela et dans le monde, auteur de montages des grands titres du répertoire universel.

Ainsi, à l’occasion du 20e anniversaire de sa mort, le Ballet Teresa Carreño (BTC) -sous la coordination du maestro Carlos Paolillo-, l’Orchestre symphonique du Venezuela -sous la direction du maestro Alfonso López Chollet-, et la participation spéciale de le pianiste Andrés Roig, une invitation qui a marqué un jalon dans la salle en raison de l’élévation sans précédent qu’il a fallu faire de la fosse, jusqu’au niveau du public, pour l’inclure avec l’Orchestre.

La proposition, qui comprenait l’académisme, le néoclassicisme et la contemporanéité, a commencé avec la première mondiale d’Alma, une pièce de la danseuse, chorégraphe et fondatrice de la première distribution du Ballet Teresa Carreño, Inés Rojas.

Le gala s’est poursuivi avec Une danse pour toi, Roméo et Juliette et Double croche, toutes des chorégraphies de Nebrada, qui mêlent des émotions profondes, parfois sombres et sombres et d’autres charmantes, vives, espiègles et pleines de joie, racontées à travers le langage corporel que le casting parvient à donner un aspect très subtil, malgré le défi de son exécution.

L’intensité de la Pax de deux de la scène du balcon de Roméo et Juliette, a été tellement combinée dans la musique, qu’elle offre un environnement libre pour le mouvement ; comme dans l’amour et la douleur exprimés par la danse ; et dans les costumes simples qui ont fini de donner un impact visuel à la pièce.

En même temps, l’OSV brille et il est parfois difficile de décider qui voir. Ses musiciens interprètent de manière magistrale et fascinante des œuvres telles que le Concert n° 1 pour piano et orchestre de Federico Chopin, le Guide orchestral pour la jeunesse de Benjamin Britten et les valses vénézuéliennes de Teresa Carreño, Ramón Delgado Palacios et JV Suárez.

Le gala, qui fait une promenade de la nostalgie à la joie unissant des figures classiques aux gestes et émotions universels, réunit plus de 25 artistes sur scène avec plus de 50 musiciens.
Les billets sont en vente via la plateforme numérique, www.maketicket.com.ve, ou à la billetterie du théâtre, du mercredi au dimanche, de 9h00 à 18h00.