Le DIMAYOR a statué sur l’enquête que le SIC va mener sur les fautes dans les contrats des joueurs

Le sujet de conversation est un nouveau scandale dans le football professionnel colombien où le Surintendance de l’Industrie et du Commerce à la tête du surintendant André Barreto, rendu publique la plainte déposée par Acolfutpro.

L’Association des footballeurs professionnels a demandé au SIC d’enquêter sur certaines équipes qui violent les droits du travail des athlètes, basé sur le célèbre « Veto », qui ont un excellent bilan dans notre pays.

De même, il a été annoncé que non seulement les équipes de football feront l’objet d’une enquête, mais qu’il incombera également à l’entité officielle du football colombien, le DIMAIRE.

« Cette surintendance a identifié des communications émises par les clubs enquêtés, dans lesquelles son approbation est exprimée contre une liste de joueurs contrôlés avec lesquels la négociation de leurs droits sportifs est restreinte, dans ce qui constituerait un accord anticoncurrentiel entre les clubs pour l’acquisition de ces droits », a déclaré le SIC.

Andrés Barreto, surintendant.  Photo : Semaine

Andrés Barreto, surintendant. Photo : Semaine

Dès lors, le DIMAYOR n’a pas gardé le silence et s’est prononcé sur le fait en précisant que toute cette enquête pouvait « conduire à l’abandon des charges, que cette entité a promulguées ».

En revanche, l’entité a précisé que les personnes enquêtées auront le droit d’exercer leur défense : « Ils fourniront toutes les explications requises par l’autorité, fourniront toute information pertinente et, enfin, fourniront et demanderont les preuves, démontrant qu’il n’y a eu aucune illégalité dans leurs actions.”.

Rappelons que le surintendant a affirmé que les équipes enquêtées qui acceptent leurs positions avant de connaître les résultats des enquêtes, pourront bénéficier d’un programme de prestations de collaboration et ainsi éviter une série d’amendes millionnaires.

DIMAYOR a conclu sa déclaration en exprimant qu’ils collaborent avec l’entité dans tout ce qu’elle demande : « La Surintendance de l’Industrie et du Commerce trouvera du mérite aux demandes et explications qui seront transmises au SIC en temps voulu.”.

Bien que le surintendant Andrés Barreto n’ait pas révélé toutes les équipes qui feront l’objet d’une enquête, il a révélé les noms de certaines, parmi lesquelles se démarquent Boyacá Chicó, Sports Tolima, Alliance pétrolière, Envigado et douze autres.

En conclusion, cette enquête suivra le même processus effectué avec la question de la revente de billets de la Fédération colombienne de football, coupable de l’amende de millionnaire que la plus grande entité de football colombienne a dû payer.