Le président de la France reçoit une gifle lors d’un déplacement officiel

Les dirigeants du monde ne jouissent pas toujours de la meilleure popularité et lorsqu’ils ne sont pas appréciés par certains citoyens, le plus courant est qu’ils expriment leurs objections à travers le réseaux sociaux, ou bien, en ces temps d’immédiateté de communication, mais en France un citoyen a décidé en direct et en direct de manifester son désaccord avec la première autorité de son pays.

Emmanuel Macron, président de la France, effectuait une visite officielle dans la ville de Valence et dans la commune de Tain-L’Hermitage Il a été attaqué par une personne à qui il s’est approché pour lui dire bonjour.

L’homme qui semblait être un disciple du président et qui se trouvait derrière les barrières de sécurité signalées au président, il s’est approché, a été tenu par le jeune homme par le bras et l’a gifléPuis des membres de la sécurité d’Emmanuel Macron se sont jetés sur lui.

Le jeune agresseur, dont l’identité n’a pas été révélée, s’est distingué de la foule en portant les cheveux longs et a crié « à bas le macronisme » au moment de gifler le Premier ministre français, les autorités ont rapporté que l’homme a été arrêté en même temps qu’un autre qui a été retrouvé proche .

Plusieurs responsables ont condamné le fait et exprimé leur désaccord avec l’utilisation de la violence pour montrer leur désaccord en matière politique, le leader de l’extrême gauche de France, Jean-Luc Mélenchon, a exprimé sa solidarité avec le président Macron, pour sa part premier ministre, Jean Castex, a déclaré qu’un désaccord légitime « ne doit en aucun cas signifier violence, agression verbale et moins agression physique ».

De nombreux citoyens ne sont pas satisfaits des mesures prises par rapport à la pandémie, c’est le cas de la couvre feu qui commence à 9 heures du soir, bien qu’il soit désormais en vigueur à partir de 11 heures et qu’une réouverture des bars et restaurants soit également prévue après 7 mois.

Par macronisme, nous entendons la position de ne pas être à gauche ou à droite, dans un pays où la rhétorique et les étiquettes politiques sont démodées, Manuel Valls, ancien Premier ministre du gouvernement de Françoise Hollande, a un jour qualifié le président français de « méchant sans scrupules » pour avoir manœuvré de manière non mystique.