Des attractions internationales et nationales sans précédent au Brésil font partie du programme du spectacle. Chez les étrangers, les temps forts sont les longs métrages Jeu de pouvoir, de Costa-Gavras, cinéaste oscarisé et lauréat du Festival de Cannes – dans sa nouvelle œuvre, le réalisateur dévoile les coulisses du jeu de pouvoir de l’Europe, en se concentrant sur les raisons de la crise en Grèce ; et l’aperçu spécial de L’histoire du plastique, une coproduction États-Unis/Inde/Belgique/Chine/Indonésie/Philippines et réalisé par Deia Schlosberg, un documentaire qui expose la « vérité qui dérange » derrière la pollution du plastique, le matériau omniprésent dans nos vies.
Parmi les films nationaux, l’un des temps forts est la première mondiale de La bourse ou la vie, dernier ouvrage du réalisateur Silvio Tendler. Le film propose de réfléchir sur le thème « qu’adviendra-t-il après la pandémie ? ». « C’est une discussion pour savoir si dans l’après-pandémie l’accent sera mis sur les êtres humains et la nature ou sur le casino financier », explique le directeur.
L’œuvre présente des entretiens avec des personnalités connues, telles que l’écrivain Ailton Krenak, le père Júlio Lancelotti, le cinéaste Ken Loach, la drag queen et enseignante Rita von Hunty, entre autres, et avec des citoyens ordinaires, qui ressentent les difficultés imposées par le chaos social.
