Le Comité de Discussion des 7 Transformations a été installé, ce lundi 29 janvier, dans l’état de Lara (Barquisimeto), lors d’un événement présidé par le gouverneur de l’entité, Adolfo Pereira, et les professeurs Isabel Lameda et Yelitza Morales, promoteurs de l’initiative dans les neuf communes qui composent l’entité Larense.
Pereira a ensuite investi les équipes chargées de débattre et de systématiser les initiatives citoyennes liées à la transformation économique, à l’indépendance totale, à l’union territoriale nationale, ainsi qu’aux domaines social, politique, écologique et géopolitique. Les commissions sont responsables de la discussion à chaque niveau territorial (national, étatique et municipal).
De même, ils se consacreront à convoquer des mouvements sociaux (de tous les secteurs d’activité régionale) tels que les services touristiques, les étudiants, les caféiculteurs, les entrepreneurs, les civils, les militaires, la police, les communicateurs, les sectateurs, les historiens, les professionnels et entre autres techniciens pour débattre et recueillir des idées et des propositions.
L’initiative organisationnelle locale fait partie du calendrier de lancement national annoncé le 18 janvier par le président de la République bolivarienne du Venezuela, Nicolás Maduro, dans le but de consulter tous les secteurs de la société vénézuélienne sur les actions pour une nation « prospère et récupérée ».
Autochtones
Concernant les peuples indigènes et leur dynamique dans l’entité de Larense, Daniela Mejías Hernández, chargée de liaison du portefeuille des peuples indigènes, a rapporté que dimanche dernier, le 28 janvier, ils ont tenu la première assemblée communautaire dans la paroisse d’Aguedo Felipe Alvarado, dans la municipalité d’Iribarren (Barquisimeto). .
Il a dit qu’ils avaient débattu avec les aborigènes locaux sur les 7 lignes de transformation, dont celle qui intéresse le plus ce secteur de la population était la ligne numéro deux, sur l’indépendance totale.
Mejías a ajouté que la vice-ministre du Bien-vivre, María Vanessa Prieto, et des responsables de la Garde populaire ont participé à l’échange d’idées.